1. Quelques chose de bleu, d’emprunté et du stupre (1)


    Datte: 18/06/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Stan23JR, Source: Hds

    ... domaine principal avait plus de cent cinquante chambres et une annexe avait été construite sur les dépendances du domaine et pouvait accueillir d’autres invités dans le même confort que dans le château. Il les rassura en évoquant l’anniversaire organisé sur le domaine par Jay-Z pour Beyonce : il y avait plus de quatre cent invités.
    
    Mais ce qui marqua le plus nos deux tourtereaux fut le parc : le chemin de haies avec des alcôves par ci par là (parfaitement cachées avec des balancelles ombragées de grand luxe) allait vraiment donner envie à des couples ou pseudos couples de s’envoyer en l’air. Béa et Cal se regardèrent, tous deux pensaient à la même chose. Béa proposa même d’éclairer le parc le soir à la lanterne pour donner un côté encore plus intimiste, cela fit presque pouffer de rire notre Alsacien. Il ne manquait plus que la pancarte : « Baisez ici » pour compléter le tout. Par contre, Cal voyait, lui, la possibilité d’installer des mini-caméras un peu partout. Lui et sa future femme étant de gros voyeurs aussi, les soirées après mariage allaient être très drôles et chaudes.
    
    Mais ce qu’ils trouvèrent au bout de l’allée de haies les émerveilla. Le propriétaire devait beaucoup aimer cette surprise car il se recula avant d’arriver et les laissa passer en premier. Devant eux se trouvait une sorte de Colisée en marbre blanc avec en son centre un autel sur une estrade, elle aussi en marbre avec de magnifiques tentures blanches transparentes.
    
    La pureté de l’endroit et ...
    ... le romantisme qui s’en dégageait touchait au cœur de nos deux futures mariées.
    
    Une ouverture au milieu des travées de marbre blanc laisser filtrer le soleil et, là encore, le propriétaire avait bien choisi l’horaire du rendez-vous, en début d’après-midi c’était pile le moment où le soleil passait à cet endroit. Elle donnait un éclat sur le marbre blanc et renforçait la vision enchanteresse qu’il avait sur la vallée du Munster et la rivière qui coulait en dessous. Pour nos deux fiancés, c’était l’endroit idéal et le regard qu’ils lancèrent au propriétaire des lieux lui fit comprendre qu’il avait tiré le gros lot.
    
    Même si la dépense serait importante, ils n’avait pas l’intention de lésiner sur les moyens pour organiser l’un des jours les plus importants de leurs vies. La liste des invités fut une formalités pour eux : la famille, les amis, une quantité impressionnante d’amants ou de maîtresses (Cal connaissait ceux de Béa et vice-versa), quelques invités professionnels triée sur le volet.
    
    Une règle d’or avait été édictée : pas de publication sur les réseaux sociaux. Ce serait le service de presse de Spittrain qui fournirait les photos qu’ils aurait le droit de publier ou alors si des photos devaient être postées, il faudrait l’accord préalable de leurs attachés de presse.
    
    Entre début janvier et mi-mars, beaucoup de questions durent être tranchées : fleurs, plan de table, mobiliers supplémentaires, thème du mariage… Mais une des dernières questions à trancher était le ...
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