Quelques chose de bleu, d’emprunté et du stupre (1)
Datte: 18/06/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Stan23JR, Source: Hds
... les rassura
- Oui monsieur tout se passe bien, nous veillons que personne qui n’a rien à faire à cet étage ne puisse venir. Par contre pour les bruits on ne peut rien faire alors qu’un nouveau cri s’était fait entendre. Là, Cal reconnut la voix de Rachel (elle s’amusait autant que son époux on dirait).
- Elle vous ont essorés ? poursuivit-il en désignant leurs entre-jambes.
- Oui Monsieur, elles sont insatiables, lui répondit le deuxième vigile. Les trois strip-teaseurs y sont encore, plus trois des nôtres qui ont monté la garde en début de soirée.
- Est-ce que ma future épouse est encore dans la pièce principale ? Puis voyant qu’ils se crispaient un peu il enchaîna : rassurez-vous je n'ai rien contre le fait que ma femme s’amuse, c’est même l’objectif d’un enterrement de vie de jeune fille.
Le premier vigile lui répondit :
- Eh bien en fait madame a beaucoup regardé et beaucoup encouragé, mais elle vient de se retirer dans sa suite il y a à peu près vingt minutes, seule.
- Eh bien c’est parfait tout cela, je vais donc lui faire une petite surprise tout en enfilant son costume d’Action Man avec la cagoule. S’il vous reste des forces quand vos collègues reviendront, retournez en profiter : ces femmes ne demandent que cela ce soir, d’autant que leurs époux s’amusent très bien eux aussi. Tiens, j’y pense, dites à vos collègues d’aller relever l’équipe de l’autre aile qui aimerait un peu s’amuser aussi je pense.
C’est donc sur ces recommandations qu’il ...
... se dirigea vers l’extrémité du couloir de l’aile Sud de l’hôtel, celui qui donnait sur le parc. Il passa doucement la carte dans le lecteur et pénétra dans la suite de sa future femme. Elle ne semblait pas être dans le salon. Il avança à pas de loup et regarda au niveau du couloir qui donnait vers la chambre. La lumière filtrait de la salle de bain. Il se plaça de biais au niveau de l’entrebâillement de la porte et ce qu’il vit l’excita au plus haut point.
Béa dans une lingerie qu’il ne connaissait pas, un modèle rouge de chez Rittrani Milano avec redresse-sein, laissant bien voir ses beaux tétons, tanga en dentelle et déshabillé, le tout sur une paire de mules. Elle était en train de se doigter avec son gode doté d’un bon calibre. Cela avait dû être aussi chaud chez les femmes que chez les hommes, par moment on entendait encore un cri de plaisir ci et là.
Cal décida qu’il était temps d’entrer en scène. Il vérifia que sa cagoule protégeait bien son visage et sortit le pistolet factice qu’il avait acheté, poussa la porte et prononça en italien, la voix déformée :
- Bouge plus salope, tu retires ton gode et tu te mets à genoux, je vais te montrer ce que c’est une queue bien membrée en chair et en os.
Béa sursauta et retira prestement son gode qu’elle laissa tomber au sol avant de se mettre à genoux tout en levant les mains en l’air et en s’exclamant :
- S’il vous plaît ne me faites aucun mal, je vais bientôt me marier, je serai une gentille fille bien docile, je ...