Souvenirs et fantasmes : Désirs fantasmés ( Partie 2 )
Datte: 15/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Wooten, Source: Hds
Acte 2
J’ouvre grand les yeux, ma respiration est rapide, il fait noir dans notre chambre, Corinne se retourne vers moi, recroquevillé, mais elle dort toujours. J’ai du la réveillé légèrement pendant que mon rêve me sortait de ma somnolence.
J’ai encore ces images imprimés au fond de mes yeux : le regard de Corinne grand ouvert de surprise et d’effarement, sa respiration rapide, le sperme abondant qui dégouline à la commissure de ses lèvres et sur elle, Michel au dessus d’elle, dominant, en train de biffer son mat encore palpitant, énorme, contre les joues de mon épouse en affichant un regard de pervers….
Je me reprends et essaie de me raisonner, ce n’est qu’un rêve horrible. Juste la raisonnance de la fin de soirée qui me travaille.
J’ai beau savoir que c’est un rêve, c’est dur à encaisser.
Je m’aperçois que ma gène est aussi dû à l’érection inassouvie et puissante que je sens au bas de mon ventre.
Avoir imaginé Corinne en train de subir ce que j’ai toujours voulu faire avec elle, l’interdiction que j’accepte depuis tant d’années, la voir la bouche rempli d’un foutre gluant et forcé, voir son visage au moment même ou ce sexe crache son sirop….. Je suis dans un état d’excitation bien supérieur à celui dans lequel je me trouvais lorsqu’elle m’avouait son désir refoulé à propos de Michel.
Je suis face à elle dans notre lit, couché sur le côté, lorsqu’elle s’est retourné en me faisant face elle aussi, elle s’est légèrement voûtée sur elle même, son front ...
... venant se poser contre mon sternum.
Ce faisant, j’ai passé mon bras au dessus de sa tête pour la laisser s’enrouler confortablement.
Ma queue hypersensible, au maximum de son érection, ne manque pas de se mettre en butée contre ses seins qui se retrouvent pressés l’un contre l’autre dans cette position.
J’essaie bien de me contrôler et de me calmer, mais le besoin qu’éprouve mon sexe devient plus fort que tout, les battements qui font rage à la base de mes bourses font pousser inexorablement mon gland contre ses seins.
Il fait chaud. L’air est lourd en cette nuit d’été, nous transpirons tout les deux. Je pense que Corinne dort profondément et ne se rend pas compte de mon état. Comme j’aimerai qu’elle me prenne dans sa bouche immédiatement…
Mes reins ne peuvent s’empêcher d’onduler doucement. Se faisant, mon gland se retrouve de plus en plus pressé au milieu de la fente que forme ses seins lourds et moites.
Je n’arrive pas à me freiner, même si je sais que c’est peine perdue. Elle dort, et elle ne me soulagera pas.
Je dois la secouer un peu trop car elle se recroqueville un peu plus sur elle même et passe son bras droit au dessus de sa hanche, laissant pendre sa main derrière ses fesses.
Aussitôt, ce mouvement a pour effet d’appuyer sur mon gland et de presser un peu plus ses seins entre ses bras… trop peut être …. Il se retrouve instantanément avalé entre ses globes énormes, aider par la transpiration tel un lubrifiant. Mon prépuce s’étire à son maximum, ...