Première fois à quatre - Histoires de Sexe

Première fois à quatre

... noire avec décolleté très plongeant, bas autofixants noirs, chaussures avec hauts talons et bien entendu absence de soutien-gorge qui laisse apparents mes tétons dressés à chaque frottement de la soie.

Sylvain me regarde m’habiller de la sorte et je lis dans ses yeux la fierté d’avoir une femme aussi désirable. La bosse dans son pantalon me confirme son excitation.

Lui a opté pour une tenue classe, mais décontractée : chemise blanche dont deux boutons ouverts laissent apercevoir des pectoraux virils, pantalon noir et chaussures adaptées.

Nous sortons du frigo une bonne bouteille de champagne et prenons le bouquet de fleurs que mon chéri a choisi pour Nadine.

Dans l’ascenseur qui nous mène à l’étage inférieur, nous ne disons mot, Sylvain et moi-même étant partagés entre désir et appréhension(c’est la première fois que notre couple se rend à ce qui devrait être une partie carrée).

Dringggg : la porte s’ouvre et Nadine est devant nous ! Qu’elle est belle, vêtue d’une combinaison hyper moulante en cuir noir, perchée sur des hauts talons qui allongent la sveltesse de sa silhouette !

— Ah, mais que vous êtes beaux, mes chéris ! dit-elle en nous faisant entrer.
— Mais fallait pas, dit Christophe en prenant la bouteille de champagne des mains de Sylvain, regarde chérie le beau bouquet que Sylvain t’a apporté.
— Merci, c’est vrai qu’il est magnifique, je vais le mettre tout de suite dans un vase, dit Nadine en nous tournant le dos pour aller à la cuisine.
— ...

... Putain, quel cul ! disent les yeux de Sylvain en admirant de dos Nadine qui s’éloigne dans le couloir.
— Chéri, installe nos invités dans le salon, je reviens avec l’apéro, ordonne Nadine à son mari.

Christophe nous conduit dans un salon très cosy et me montre le fauteuil dans lequel je peux m’asseoir. Ma robe se relevant dans mon mouvement, je vois bien que le coquin a jeté un œil admiratif sur mes cuisses dévoilées ; le sourire que je lui adresse en le fixant du regard lui montre que je ne suis pas dupe et… intéressée.

Les hommes s’assoient dans un super canapé en face de moi tout en devisant sur des sujets qui, je l’avoue, ne me passionnent pas outre mesure.

— Tu veux de l’aide, Nadine ?
— Si tu veux, ma chérie, je n’arriverais pas à tout apporter d’un coup.

Je me dirige donc à la cuisine et je rejoins Nadine qui me fait face. Qu’elle est belle en dominatrice ! Elle referme la porte et me prend dans ses bras.

— On va leur en donner pour leur plaisir, mais avant, viens que je t’embrasse !

Et, me serrant contre elle, elle s’empare avec voracité de ma bouche. Sa langue force mes lèvres et s’enroule autour de la mienne, elle aspire ma salive, caresse mes lèvres et replonge sur ma langue.

Ses mains ne restent pas inactives, elle me pelote les seins par-dessus ma robe, pince mes tétons déjà bien durs, puis sa main droite descend sur ma cuisse, remonte le long de mes bas jusqu’à ma culotte bien humidifiée et sans préambule glisse un doigt tout le long de ma ...