1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1592)


    Datte: 12/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... porte s’ouvrit toute seule par un mécanisme électrique. Devant moi, je découvris un petit espace en petit vestibule d’environ de 2 mètres carré. Un homme s’y trouvait, habillé comme un portier d’hôtel, et je compris tout de suite qu’il s’agissait du guide. Il ne dit aucun mot, le visage impassible. Il sortit juste sa verge à demi-molle de son pantalon. Je compris tout de suite, donc, ce que j’avais à faire pour pouvoir sortir de ce vestibule et avoir accès enfin à cette chambre numéro 1. Je m’accroupis devant lui et je le pris en bouche. Il me fallut peu de temps pour le faire venir car visiblement il banda en un temps très rapide et ne se retint pas pour lâcher sa semence sur mon visage au moment d’éjaculer… Ensuite, il appuya sur un bouton et la cloison derrière lui s’ouvrit telle une porte coulissante, laissant place à la pièce préférée du Maître, comme l’avait précisé le Majordome.
    
    Et je compris tout de suite pourquoi le Maître adorait cette pièce ! Le décor tout d’abord ! C’était le grand Salon du Château qui avait été reconstitué à l’identique, à un détail près, puisqu’il était décoré exactement comme au XVIIIème siècle. Mais le plus fabuleux, était qu’on se serait cru au musée Grévin ! En effet, il y avait devant mes yeux émerveillés une vingtaine de personnages de cire en situation d’orgie de Domination/soumission. Des soumises en cire se faisaient prendre à même le sol sur des luxueux tapis, ou dans des fauteuils style Louis XV, par des Dominants de cire ...
    ... également, leur grosses verges immobiles se présentant devant des culs et des sexes parfaitement bien réalistes. Mais le clou de spectacles était les trois personnages placés au centre de la pièce sur une estrade délimitée par quatre piquets d’or réunis par des cordons torsadés en faisant tout le tour. Il y avait là, la reproduction en cire de Charles d’Evans, en habit d’aristocrate, la tête haute, le regard sévère, portant un épais manuscrit en mains, à ses côtés le fameux Marquis de Sade aux yeux pervers tenant une laisse de cuir comme à l’époque et à ses pieds, agenouillée se tenait une soumise entièrement nue et portant un épais collier métallique, et des anneaux de fer aux chevilles et poignets à l’instar de ceux que portaient les esclaves en 1785. Cette soumise ressemblait en tout point à sa fameuse Juliette…
    
    Je restais subjuguée, sans voix, tellement cette scène était magnifique, sublime, tellement réaliste autant chez les personnages de cire que dans ce parfait décorum reconstitué… Je me croyais véritablement être en 1785 ! … Et puis tout d’un coup, tous ses personnages de cire se mirent en mouvements tout en restant à leur place. Je compris de suite qu’il s’agissait d’automates ! Les Dominants de cire faisaient mécaniquement des va-et-vient dans les orifices des esclaves de cire qui bougeaient avec réalisme leur visage, yeux et bouche. Le Marquis de Sade caressait le cuir chevelu de Juliette dans un mouvement répétitif, et elle, faisait un mouvement mécanique de tête de ...