1. COLLECTION BLACK. Le visiteur de nuit (2/2)


    Datte: 12/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Que faire de ce grand black que je tiens au bout de mon vieux tromblon, mais qui fonctionne ?
    
    Je l’avais retrouvé au fond du grenier lorsque je cherchais des objets encore en l’état, mais qui me sont devenus inutiles.
    
    C’était pour la brocante annuelle de l’école où j’ai officié pendant des années avant de prendre ma retraite.
    
    J’ai trouvé divers objets dont ce fusil.
    
    J’allais le donner lorsque je me suis aperçu qu’il était toujours possible de le charger grâce à la boîte de cartouches l’accompagnant.
    
    Je l’ai essayé dans la forêt, mes voisins auraient eu du mal à admettre de m’entendre tirer des coups de fusil dans mon jardin.
    
    Donner un tromblon pour l’exposer dans une cour d’école, c’était prendre des risques de faire la une du journal de vingt heures, si un accident était survenu avec un enfant.
    
    Je l’ai gardé et j’ai pu y mettre de nouvelles cartouches afin de me protéger de ce garçon venu de nuit piller mon réfrigérateur.
    
    Je me retrouve accroupi devant lui à lui prendre la verge en main puis rapidement en bouche.
    
    Quelle conne d’avoir été presque chastes depuis douze ans date du décès de Pierre, mon mari camionneur tué par un quarante tonnes sur les routes d’Allemagne.
    
    Veuve à quarante-huit ans avec un amant occasionnel devenu incapable de bander, vu son âge avancé.
    
    Youssef se penche pour écarter le devant de mon peignoir, je suis nu dessous.
    
    • Tu dors nue, la nuit !
    
    Je redresse ma tête ma langue lâchant le travail qu’elle avait ...
    ... commencé.
    
    • C’est depuis ma plus tendre enfance que je dors sans vêtement de nuit.
    
    Je faisais régulièrement pipi au lit étant petite fille.
    
    Un jour mon père m’a enlevé ma chemise de nuit pour me punir.
    
    Depuis ce jour, je dors toujours dans le plus simple appareil, un jour, j’en ai remis une et j’ai recommencé à mouiller mon lit.
    
    Le temps que je prononce ces mots, il m’aide à me relever et comme dans un état second, il me conduit vers ma chambre.
    
    Mon dieu quelle queue, je vais renouer avec les bites bien réelles surtout lorsque je rentre dans ma chambre.
    
    Des bites bien réelles alors que sur mon lit se trouvent toute la panoplie de gode que je me suis acheté au fil des années.
    
    Voilà pourquoi je disais que j’avais presque coupé les ponts avec les bites des hommes aux cours de ces dernières années.
    
    Lorsque j’ai entendu du bruit venant de ma cuisine, j’étais en train de m’effiler Ernest dans la chatte, me servant de ses vibrations.
    
    Tous mes godes ont un nom, Ernest, Édouard, Lionnel, tous des noms d’hommes que j’ai connus souvent bibliquement.
    
    • Rigole, je me vois mal aller au café du coin et dire aux hommes présents, qui veulent me baiser, avec ces godes, j’ai remédié au problème.
    
    Je m’assieds sur le pied de mon lit et reprends mon travail avec ma langue.
    
    Elle est gigantesque.
    
    Je me souviens d’une conversation avec Judith, ma collègue de CE1 lors de notre brocante annuelle.
    
    C’est moi qui l’ai créé dix ans plus tôt après la mort de Pierre pour ...
«1234»