Les Préservatifs 04 (La Jouissance)
Datte: 12/06/2025,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byToutfaitpourelle, Source: Literotica
... fois c'était chacun à son rythme. C'est devenu fou ! J'avais l'impression que chacun essayait d'aller plus vite que l'autre. J'étais poussée, tirée dans tous les sens. Je sentais des frissons de plaisir me parcourir. J'ai fini par glisser ma main sous moi pour titiller mon clitoris pendant ces coïts de folie. J'ai presque atteint la jouissance lorsqu'ils ont éjaculé en moi tous deux en moi, en même temps. »
Se remémorer ces moments de plaisir excitent Fleur, dont la chatte coule encore plus, maintenant, trempant les doigts de son mari. Elle prend une minute de repos pour se calmer avant de reprendre son récit.
« Ils ont recommencé toute la nuit. Ils étaient infatigables. Ils échangeaient leurs positions, mais je préférais lorsque c'était Lyam qui me sodomisait. Il me faisait moins mal et j'aimais la sensation de le sentir plus profondément en moi à cet endroit.
Le lendemain, Lyam est resté avec nous. Gabriel m'a dit qu'il avait une idée pour augmenter mes sensations. Il a placé un bandeau sur mes yeux. Il est vrai que, sans la vision, le ressenti paraît plus intense. Tu devrais essayer, lorsque je te branle, mon chéri. Il n'a plus été pour moi que de baiser les yeux bandés. Ils me prenaient chacun leur tour. J'avais refusé de continuer les sodomies car, après tout ce qu'ils m'avaient mis la première nuit, c'était trop douloureux. Gabriel s'est amusé à me demander de dire qui me prenait. J'ai été très bonne à ce jeu : je ne me suis jamais trompée.
La nuit ...
... suivante, nous avons continué de la même façon, mais Gabriel n'a plus voulu de ce jeu de devinette. Dans ma tête, j'ai un peu continué, mais j'y arrivais moins bien. Je ne savais plus qui me prenait. J'avais l'impression que ce n'était ni l'un ni l'autre. Je me suis dit que j'étais perturbée par ces pénétrations successives et que je n'arrivais plus à me concentrer. Ce n'était pas bien grave. Ce n'était qu'un jeu sans importance. »
Fleur s'interrompt car l'hôtesse vient leur proposer des boissons. Elle ouvre alors la tablette pour y poser le gobelet. Fleur se dit qu'ainsi ses jambes seront encore un peu plus cachées et elle se laisse glisser plus loin, facilitant ainsi l'accès de sa chatte par son mari, qui en profite pour glisser un doigt dans le vagin de sa femme. Encore plus excitée, Fleur vide son gobelet puis reprend son récit :
« Dans les journées suivantes, nous avons baisé ... ou plutôt fait l'amour ... tu m'excuses, mon chéri. Oui, j'étais bien avec eux deux. Ils étaient moins fougueux. Ils me câlinaient. J'avais deux amants et j'étais heureuse de m'offrir à eux. J'avais deux beaux étalons pour moi seule. Je me suis sentie un peu ... amoureuse ... des deux. Tout à l'heure, j'ai eu du mal de me séparer d'eux. Tu ne m'en veux pas, mon Nounours? »
« Non », lui répond Arthur, « C'est normal que cela finisse par t'arriver, dans de telles conditions, même si c'est dur pour moi. Je le supporte bien, comme tu peux le sentir entre tes doigts. C'est anormal, mais ça me fait ...