1. Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 13


    Datte: 10/06/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amdsoo, Source: Hds

    ... et il était fin négociateur. Le mécontentement était si fort que Xavier avait pensé logiquement à Sylvia pour atténuer la pression des ouvriers. Quoi de mieux qu’une dame si élégante, rousse et ravissante à baiser quand on est un ouvrier noir ? Peut-être un fille plus jeune, sexy et rousse ? mais c’est une autre histoire… « Mais Xavier ces hommes sont tous noirs « « Oui je sais mais tu as déjà touche une bite noire et tu semblais apprécier, n’est-ce pas ? » Sylvia ne se rappelait pas de la visite du semencier, elle était vaguement droguée ce jour-là. Elle sentit un tressaillement dans tout son corps la traverser, la perspective d être au contact de ces ouvriers la terrifiait. Depuis son enfance, son père lui avait toujours interdit d approcher les baraques, car la jeune demoiselle ressemblait beaucoup à Mélodie maintenant, et les hommes auraient eu du mal à se contenir.
    
    Quand ils arrivèrent devant les baraques, une dizaine d’ouvriers chômaient au lieu de travailler dans les champs.
    
    Sylvia avait du mal à marcher sur les graviers, et maladroitement faillit tomber, Xavier la soutenait sur son côté gauche. Cette gaucherie fit sourire certains des ouvriers, et la rendit encore plus sexy. Ils étaient très muscles, relativement jeunes, et regardaient avec appétit cette femme si sophistiquée. Xavier les salua d’un geste et poussa Sylvia gentiment à l’intérieur de la première baraque, la plus grande.
    
    La ferme comptait près de 250 ouvriers à son maximum mais certains d’entre ...
    ... eux faute de revenus avaient déserté, il y avait aussi trois femmes qui faisaient la cuisine, le ménage et qui servaient souvent le soir de défouloir pour ces hommes seuls. Quand l’une suçait des bites pour 1$, l’autre se laissait enculer pour 5$. Le transfert d’argent était minime et tous vivaient dans une grande misère sociale et humaine. Le moindre $ de plus ou de moins était vital, et les hommes essayaient toujours de négocier le service de ces femmes, mal habillées, sales pour la plupart mais qui avaient gardé leur dignité. Elles pouvaient partir quand bon leur semblait, mais elles ne le faisaient pas, par peur de perdre le peu qu’elles avaient acquis si durement.
    
    Quand Sylvia regarda autour d’elle, elle vit deux de ces femmes qui suçaient deux hommes, et d’autres hommes étaient nus, leurs sexes noirs et longs pendant entre leurs cuisses. La cabane sentait la pisse, la sueur, et le sperme.
    
    « Comme prévenu, je vous ai amené ma femme Sylvia, en paiement de la dette du mois d’avant » dit Xavier.
    
    Les hommes regardaient la beauté rousse, des cheveux bien laves, une peau de rêve qui sentait bon et qui contrastait tant avec les deux vilaines femmes qui suçaient avidement les queues dressées devant elles. Sylvia compta 20 hommes dans la cabane, mais elle savait que plus de 120 hommes seraient intéressé par prendre possession de son corps et l utiliseraient comme ils le voulaient.
    
    « Donc je passerais la prendre à la fin du week-end, Dimanche soir » concluait il« Mais ...
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