1. Virginie et le photographe, partie 3.


    Datte: 10/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds

    Dans le studio, Virginie posait en nuisette bleue azurée et transparente. Son corps était véritablement voluptueux. Le photographe avait l’habitude de voir des jolies filles pratiquement nues lors des shooting photo boudoir. Virginie ne le laissa pas indifférente. Elle était l’un de ses plus beaux modèles.
    
    L’homme demanda à Virginie de poser debout devant la fenêtre du salon :
    
    - « Tu ne risques rien, il n’y a personne qui peut nous voir par la fenêtre » assura-t-il. « Et puis, je laisse le volet à moitié fermé comme ça, pour laisser passer juste un peu de lumière », ajouta-t-il.
    
    Les volets étaient ajourés. C’était des persiennes en bois recouvertes d’une peinture blanche. Virginie posait dans un rayon de lumière. La fenêtre était entr’ouverte. Le photographe la bombarda avec admiration :
    
    - « Tiens, mets-toi de face maintenant, comme ça. Pose tes mains sur ta poitrine comme pour la cacher. Ça relève plus d’intimité », précisa encore le photographe.
    
    - « Assis-toi là maintenant sur le parquet. Appuie ton dos contre le mur. Tu es très belle, tu sais. Si je n’étais pas tenu par un code de déontologie, je… »
    
    Emu et troublé, l’homme ne finnisa pas sa phrase.
    
    - « Pourquoi faire ce métier-là, si vous ne résistez pas ? » demanda la belle innocemment.
    
    L’homme était en réalité beaucoup plus troublé par la relation qu’il entretenait malgré lui avec la belle, que par le charme incessant de la jeune fille. Cette relation avait débuté du jour où Virginie entra dans sa ...
    ... boutique. La jeune fille d’emblée se l’était joué séductrice. L’homme, qui pourtant était prudent vis-à-vis des femmes, succomba. La force psychologique de la jeune femme était telle que lui-même en fut littéralement désarmé.
    
    Des femmes (et de très belles femmes même !), il en voyait régulièrement. Et sans cesse, il avait su jusqu’à ce jour garder ses distances. La relation avec Virginie d’emblée fut différente. La belle avait eu en effet le tutoiement et le sourire facile. Avec le photographe, elle était à l’aise, comme si elle l’eut connu depuis toujours. Sans s’y attendre, l’homme reçût en pleine face la pétulance et la vivacité impétueuse de la jeune fille.
    
    Dans le studio, l’homme tenta cependant une ouverture :
    
    - « Tu peux découvrir tes seins, si tu veux. Les photos, tu sais, sont pour toi. Je ne garde pas de copies. Et, si je garde des copies, c’est uniquement avec autorisation de mes clientes et puis j’ai l’obligation de ne pas divulguer sans en informer et obtenir l’accord de la propriétaire des photos. Tu n’as aucune crainte à avoir. Je ne veux pas perdre mon boulot. »
    
    Virginie, séduit par l’idée de voir ses seins photographiés, n’en attendait pas moins de la part de l’homme. Dans la séance précédente, elle avait bien tenté de le faire mais elle resta bras croisés sur la poitrine quand elle fut à découvert. Dorénavant, elle se déshabilla pour le plus grand régal du photographe. La belle retira une bretelle de sa nuisette et fit tomber l’autre. Ses seins, ...
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