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Joueuse ... cette Liliane...
Datte: 29/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds
... Suivez-moi, en voiture. - Avec plaisir. Il n’a fallut qu’une dizaine de minutes pour rallier les deux adresses. Je suis à peu près sûre qu’en acceptant son invitation, elle avait inondé sa culotte. Une fois dans son appartement, elle m’a invité à prendre place sur le divan. Elle revint les mains charger d’un plateau plein de bouteilles. Je lui ai demandé un Martini. Elle s’est servi un Porto. Et vint s’asseoir juste à côté de moi. Sur le moment, je n’ai pas réalisé que la chaîne Hi fi diffusait en sourdine une musique assez romantique. Peu à peu, Liliane a aiguillé la discussion vers des sujets plus intimistes. De son couple, du sexe. Je me rendais très vite compte qu’elle me confessait des tas de confidences très personnels et intimes. J’ai mis ça sur le compte de l’alcool. Et surtout cela n’allait pas s’arranger, puisqu’elle s’était penchée pour se servir un autre verre. Dans le mouvement la jupe du tailleur est montée haut sur ses cuisses. Ah ! La possibilité d’en voir plus, sous son vêtement, me fit fantasmer. Avec un sourire mi-résigné mi-canaille, elle a pivoté. Me faisant face sur le divan. J’ai pu apercevoir la culotte qu’elle portait. En coton blanc. Qui moulait amoureusement sa chatte. Dont son excitation l’avait rendue liquide. Une auréole s’était étalée sur le devant. Des bas fumés remontaient haut sur ses cuisses dans un demi-cercle de sa gaine. - Vous aussi vous portez une gaine. - Mais vous êtes un voyeur ! - Et vous une ...
... exhibitionniste. - Ordinairement non ! Mais ce soir, exceptionnellement oui. Je ne pense que votre présence en est pour quelque chose. - Ah oui ! - Et vous savez quoi ? - Non mais je ne vais pas tarder de le savoir. - J’ai une furieuse envie de vous embrasser. - Faites donc. ! Nos bouches se sont alors mêlées. Liliane embrassait très bien. Cette étreinte était délicieuse. Le baiser terminé, elle s’est écartée. - Vous connaissez une autre femme qui porte une gaine. - Ma maman. Elle portait comme vous des bas. Les siens étaient couleurs chair. Je me faisais un plaisir à chaque fois qu’elle les portait de les lui soutirer pour les humer au fond de mon lit. J’aimais l’odeur qui s‘en... Sans me quitter des yeux, elle s’est levée. Elle a déboutonné sa jupe. Elle n’a même pas cherché à la retenir, la laissant choir à ses pieds. J’avais devant les yeux le triangle de coton blanc de sa culotte qui masquait son intimité. Comme lors de ma première vision, aucun poil ne dépassé. Son pubis était surmonté d’un bourrelet de son ventre, rond, lisse et pâle. J’avais les mâchoires serrées. La gorge sèche devant un tel spectacle offert. Puis elle fit tomber la veste. Sa gaine à la hauteur de sa poitrine était pleine à craquer. De couleur blanche. Assorti à la culotte. Les mamelons bandés tendaient l’étoffe sur le devant comme deux perles prisonnières. - Votre maman avait la même ? J’étais resté un instant à la contempler. J’avais l’impression de me revoir effectivement ...