1. E-lettre intime : la réponse


    Datte: 07/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: MG8895, Source: Hds

    Mon Chéri, Comme tu me manques aussi, après la lecture de cette missive, que je viens de recevoir, je pense encore plus fort à toi. Comme j’aimerais être à tes côtés. Je peux comprendre ton stress et ta fatigue, d’après les conditions de travail que tu me décris si bien. A la fin de la relecture de ton courriel, je suis en transe, la description de tes desseins est tellement réaliste, que je mouillais. J’ai dû avoir recours à mon gode préféré et vibrant. Je ne te cache pas que j’ai joui très vite en pensant très fort à toi. Je t’aime Mon Poussin.
    
    En écrivant ce mail, je porte cette jolie robe rouge que tu évoques dans tes écrits. Tu me l’as offerte à ton retour de DUBAÏ. Je suis heureuse que tu me trouves jolie et qu’elle mette en valeur mes formes. Comme le temps passe vite. Tant d’amour reçu et donné au cours de ces années passées ensemble. Je n’ai aucun regret sauf, celui d’être seule ce soir dans ces draps froissés par mes pratiques solitaires et avec mes joujoux intimes. C’est amusant mais rien ne remplace nos étreintes torrides et débridées.
    
    Ici, il fait froid, les fêtes de fin d’année approchent et j’espère que tu seras présent pour les réveillons. Nous avons beaucoup de temps à rattraper. Mon Amour, tu me manques tant. Les masturbations et les « dildos » ne peuvent se substituer à ton membre viril et chaud. Je me rappelle notre dernière nuit avant ton départ pour cette foutue plateforme. Nous avions pris un bon repas commandé chez le traiteur. Le vin de ...
    ... Bourgogne que tu avais décanté et chambré était un délice, il nous a enivrés. Nous avions pris un bain-thalasso, bien détendus, nous avions soupé en peignoir. J’avais mis quelques gouttes de mon eau parfum préférée. Nous étions calmes et excités à la fois. Cette musique « underground » nous envoutait.
    
    J’aimerais tant que te souviennes de cette nuit particulièrement torride que nous avons passée. Je te disais que tu serais fatigué et toi tu t’en moquais, tu étais prêt surtout, tu avais mis tout en œuvre pour que cette soirée soit réussie. Oh mon homme, comme j’aimerais revivre cet instant si passionné. Rappelle-toi, souviens toi, tout à commencer à la fin de cette chanson de Mark KNOPFLER : « Drovers’ Road », tu es venu derrière moi, nous étions à la salle de bain. Tu m’as enlacée, tu as mis ta tête dans mon cou, je ressens encore ce souffle chaud et humide sur ma peau. Tu as déposé plusieurs petits baisers, sur ma nuque et tu as fais glisser mon peignoir.
    
    Tu as quitté le tien, nous étions nus, l’un contre l’autre, ta chaleur m’enveloppait, tu as commencé par me câliner, avec tendresse et délicatesse. Tes baisers se faisaient plus tendres dans mon dos, tes mains parcouraient mon corps, avec lenteur et douceur. Je sentais mon désir monter et je n’ignorais pas le tien, j’adore ta façon de faire. Tu connais si bien mes points sensibles. Tu t’es plaqué de plus en plus fort contre moi, je sentais ton sexe durcir dans le creux de mes reins. Tu as commencé à me pétrir les seins, oh ...
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