Quand Virginie justifie à Bob son activité d'Escort : la lettre
Datte: 07/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds
Quand Bob eut appris que Virginie succomba aux charmes de la prostitution de luxe, il en devint désormais fini de leur relation amoureuse. Virginie était en peine de se retrouver délaissée par celui qu’elle aimait. Dans une lettre, postée à posteriori, à partir du Havre où elle vivait désormais, elle laissa entendre à Bob qu’elle avait vécu des choses dures lors de sa première expérience d’Escort.
A la lecture de la lettre, Bob resta perplexe. La belle y avoua en effet qu’elle n’avait pas voulu en arriver là et ne s’avait encore comment tout cela était allé crescendo si bien qu’elle en perdit pied. Virginie, en effet, à bien y réfléchir, fut certainement bien plus victime du désir profond des hommes pour elle que l’inverse. La belle ne cachait pas son attirance pour eux. Parfois, elle se laissait séduire. Et, le plus souvent hélas, elle trouva déception quand ils avaient abusé d’elle. Son seul tort sans doute était d’avoir été très jolie ; et désespérément trop accessible aussi ! C’est ce que regrettait Bob, bien que ce dernier prît également plaisir à savoir sa femme dans les bras d’un autre (Nono, Dominique en particulier). Le plus simple est encore de laisser la parole à l’intéressée même : Virginie !
Voici donc ce que la belle écrivit à Bob, trois semaines après son départ pour le Havre :
« Bob, mon Amour,
L’hiver sur mon cœur est tombé autant que le froid recouvre notre amour qui pourtant fut si ardent. Il y a longtemps, alors que nous étions au lycée, tu ...
... as brisé ma coquille, cette carapace que j’avais en moi. Tu m’as libérée et tu m’as ouverte à l’amour et j’ai eu beaucoup de bonheur et de passion dans tes bras.
Mais, sache aussi Bob, qu’il n’y a pas que toi et moi sur Terre. Nous vivons dans un monde où les hommes vivent avec les femmes, un monde fait de rencontres. Oh, certes, il ne s’agit pas de faire n’importe quoi ; moi-même, tu le sais je suis sujette à ça. Toi tu étais là pour me protéger, pour m’aimer, pour m’adorer. Moi, je n’ai pas vu ou suffisamment vu cet amour que tu avais toi pour moi. Je t’ai cru jaloux ; excessif. Peut-être me suis-je trompée sur toi. Je ne sais pas.
Mais, si je t’écris aujourd’hui, Bob, ce n’est pas pour te dire tout cela car tu le sais déjà. Non, je tiens à être franche avec toi une dernière fois, sachant peut-être que nos destins se séparent pour la dernière fois et pour toujours. Ah, tiens, au passage, j’ai quitté ma mère. Je ne lui ai pas laissé d’adresse. Ne cherche donc pas à me joindre chez elle, elle ne saura pas te renseigner. Ne cherche pas non plus à me joindre. Ce n’est pas la bonne solution.
Avant toute chose, contrairement aux apparences, je veux que tu saches que j’ai toujours été loyale avec toi, et que mes histoires avec Nono, Domi ou même Olivier n’ont été que des histoires que je n’ai jamais véritablement voulues. Nous vivions toi et moi dans un monde de bisounours et c’est comme cela que nos amis proches nous appelaient. C’est vrai, je t’ai trompé avec Nono, ...