1. Clara


    Datte: 06/06/2025, Catégories: fh, inconnu, jardin, fête, fsoumise, hdomine, Oral fgode, fist, fdanus, jouet, sm, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... ceinture de chasteté, à côté de lui qui, une fois de temps en temps, me caressait la tête comme si j’étais sa chienne, non.
    — Mais c’est pas possible ! C’est quand qu’il sort sa bite ?
    — T’as que ça en tête, toi ! Mais oui, à un moment dans la matinée, il m’a enlevé le bâillon, m’a ordonné de me mettre sous le bureau et de le sucer. Alors que je léchais sa verge molle, il a lancé un appel téléphonique.
    — Tout en téléphonant ?
    — Ça n’a pas eu l’air de le déranger. Par contre, il n’était pas concentré sur moi.
    — Il disait quoi ?
    — Aucune idée. Il parlait en anglais. Moi, j’étais contente de pouvoir utiliser mes mains. J’ai dû le sucer longtemps pour qu’il se décharge enfin. Il m’avait ordonné d’avaler, alors je l’ai fait. Il m’a remis le bâillon et j’ai repris ma place à côté de lui.
    — Pas un mot gentil, je suppose.
    — Non, confirma Clara. Mais j’adore ça !
    — J’avais compris, merci. Vous êtes deux malades qui formez un très joli couple. Tu ne t’ennuyais pas ?
    — Tu sais, habituellement, je passe mes congés sur le canapé à regarder des vidéos TikTok. Ce n’est pas pire.
    — C’est probablement même bien mieux. Tu te sentais comment ?
    — Je ne sais pas trop comment exprimer ça. C’est véritablement super agréable de n’avoir rien à penser. Plus de facture, de course, de ménage, de choix de vêtement ou d’activité. Quelqu’un d’autre le fait pour toi. Tout ce que tu as à faire, c’est suivre. Par contre, j’avais le corps en feu. Je voulais du sexe. J’avais tellement envie de jouir ...
    ... ! Les sex-toys dans mon ventre me remplissaient vraiment bien. Ils n’étaient pas hyper gros, mais pas petits non plus. Me sentir ainsi possédée m’excitait tellement. Et lui, il s’en fichait. J’ai essayé de gémir pour attirer son attention. Sa réaction a été de me caresser les cheveux. Une fois, j’ai insisté. Il m’a répondu d’un « chut » agacé.
    — Le salopard !
    — Il travaillait. Je ne devais pas le déranger. Je ne voulais pas goûter encore à la badine, alors j’ai obéi.
    — Tu as dû rester ainsi longtemps ?
    — Toute la matinée. Il ne s’est levé que pour aller pisser – et je l’ai accompagné – puis pour aller préparer le déjeuner. J’ai reçu des pinces, n’étant pas capable de tenir la position correctement, puis nous sommes allés manger.
    — Il t’a laissée, le ventre rempli ?
    — Oui, il a juste retiré le bâillon. Après le déjeuner, il m’a amenée dehors. En face de la véranda, il y avait un foudre. Tu sais ce que c’est ?
    — Aucune idée, admit Capucine.
    — C’est un immense tonneau. C’est lui qui m’a donné ce mot. Il m’a dit que ce truc était purement décoratif aujourd’hui, mais que dans le temps, il avait réellement servi à contenir du vin. Vu la taille, il devait contenir des milliers de litres ! Il était plus haut que lui et il en aurait fallu trois comme moi pour en faire le tour.
    — Je ne savais pas que ça existait, admit Capucine.
    — Ce foudre avait été légèrement modifié. Il m’a placée dos à lui, face à la véranda. Il a commencé par boucler mon collier. Ma tête s’est retrouvée ...
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