La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1596)
Datte: 03/06/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... caresser, d’une main, mes seins arrondis et gorgés de sang afflué par le serrage des cordes, et de l’autre main Il descend doucement, délicatement par une douce caresse sensuelle, sur mon ventre où Il attrape la corde, celle qui est sur mon sexe, et la tire sur le haut afin d’accentuer le frottement sur mon clitoris et entre les lèvres intimes. De sa première main, le Châtelain me malaxe abondamment les seins, me pince les tétons fort sensibles, pendant que de l’autre main, Il me branle en faisant manœuvrer la corde frottant sur mon sexe. Instinctivement sous l’excitation galopante, mon corps se cambre en arrière, ce qui me fait encore plus ressentir la pression des cordes sur mon sexe et sur mes seins. Je me sens tel un objet, une chose, entre les mains du Maitre, une poupée maniée à Sa guise, à Sa Volonté, Lui qui reste Maitre de mon plaisir... Je commence à gémir et à supplier le Maitre de me laisser jouir, de m’accorder un orgasme, mais non, rien ne vient. Monsieur le Marquis m’a amené au bord de l’orgasme, et quand j’allais jouir, il m’a relâché, m’interdisant ainsi silencieusement la jouissance...
Le Châtelain m’exige d’ouvrir la bouche et y met un bâillon-écarteur, qui me maintient ma cavité buccale grande ouverte, ensuite Il attache mon collier, que je porte déjà au cou, une autre corde jusqu’à mon sexe, et pour finir Il me fait allonger par terre, où il me noue les jambes entre elle, de façon à ce que je ne puisse plus du tout bouger, ni écarter mes jambes, ni ...
... pouvoir les déplacer. J’ai une corde qui me relie les jambes entre elles au niveau des cuisses, en dessous et au-dessus de genoux, au milieu des mollets, et une autre au chevilles, ce qui ne me laisse plus aucune liberté de mouvements, si ce n’est que de pouvoir juste me tortiller comme un ver de terre… Ainsi attachée aux pieds du Noble, à attendre Sa bonne Volonté, Son bon vouloir, à juste être un objet à Ses pieds. Pour finir le Châtelain m’attache à nouveau la longue chaine, en guise de laisse, à l’anneau du mur et cela jusqu’à mon collier, puis s’éloigne de moi dans la vaste pièce. Le bâillon-écarteur commence à me faire me baver. Cette situation dans laquelle je suis, m’excite beaucoup, énormément même. Le Maitre est assez loin de moi, presque à l’entrée du Cachot, il y’a une bonne distance qui nous sépare, et Il m’exige de venir jusqu’à Ses pieds :
- Mon esclave MDE, tu vas ramper jusqu’à moi, jusqu’à Mes pieds, telle la petite vermine que tu es, telle la petite merde, la larve, le ver de terre insignifiant, que tu es. Une fois à Mes pieds, tu auras droit à ta récompense, tu auras le droit de lécher Mes chaussures. Aller, exécution la chienne...
C’est donc avec difficulté que je commence à me déplacer, à forcer pour avancer en me tortillant dans tous les sens, c’est plus une reptation qu’autre chose pour arriver aux pieds du Maitre, ainsi attachée, saucissonnée sans autre moyen de bouger. Alors mes mouvements son difficiles, et à chaque fois que je bouge même juste ...