1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’héritage (1/1)


    Datte: 29/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... et est entré, car l’art l’intéresse, à midi, je lui offre le restaurant et l’après-midi, nous prenons un taxi pour aller chez moi prendre une dernière coupe de champagne à 16 heures.
    
    Dès que nous sommes dans la salle, il sait que j’ai envie de lui, la manière dont j’ai fini par lui tenir la main par-dessus la table, en disait long sur ma chatte dégoulinante.
    
    Il aurait pu me prendre sur place, contrairement aux fois où Léon me baisait, mon vagin est largement humidifié.
    
    Il le fait sur mon canapé en cuir au risque de le tacher, mais je n’en ai cure, malgré notre différence d’âge, il est un amant divin, dommage qu’un jour prochain, il en ait mare de sa vieille et qu’un pompier féminin emportera son cœur dans les brasiers qu’il doit éteindre.
    
    C’est comme cela que je m’endors, pleine de son sperme qu’il éjacule après m’avoir prise dans diverses positions pendant un temps infini.
    
    • Lise, je peux te poser une question.
    
    • Bien sûr, si je peux te répondre.
    
    Il s’est levé alors que je suis allongée sur le canapé dans une pose indigne d’une femme de 60 ans, ma chatte est exposée, mais comme c’est mon amant qui me voit, je n’en ai rien à faire.
    
    Il est près du meuble de la salle à manger et a pris dans ses mains une photo de Léon et moi.
    
    • Qui est sur cette photo avec toi ?
    
    • Léon mon mari, il est ...
    ... mort, il y a peu.
    
    • Maman m’a fait voir une photo de lui quand il était plus jeune, c’était son amant, il n’a jamais voulu quitter sa femme et est parti sans que l’on sache où il habitait, c’est mon père.
    
    • Et ta maman ?
    
    • Elle m’a quitté, cancer du sein.
    
    Comme l’on dit, le ciel me tombe sur la tête, mon mari avait une maîtresse et ne semble pas avoir su qu’il avait un fils, je comprends que lorsque je l’ai vu à la galerie, j’avais une impression de déjà vu, il ressemble à Léon.
    
    J’étais et je suis resté la maîtresse du fils de mon mari qui est mort sans savoir qu’il avait réussi à se reproduire.
    
    J’ai trouvé la solution en parfait accord avec lui, pour le rétablir dans ses droits, nous nous sommes mariés discrètement à Bormes-les-mimosas, seul le maire et nos deux témoins, Édouard et son meilleur copain était présent.
    
    J’ai trouvé l’homme pour ma fin de vie, il me porte en ce moment vers mon lit de jeunes mariées, il me fait passer notre porte et vient me mettre sur notre lit.
    
    Je sais qu’une nouvelle fois, lorsqu’il m’aura fait un magnifique cunnilingus, il me prendra comme il le voudra, j’ai même goutté à la sodomie, situation étrange, mais aucunement dénuée d’intérêt quand c’est votre amant qui la pratique.
    
    Heureuse, je suis heureuse, j’ignore le temps que cela va durer, mais je me fiche de tous. 
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