1. Canicule


    Datte: 02/06/2025, Catégories: ff, campagne, fist, zoo, consoler, lesbos, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... pensée du baiser, que la belle Tala vient de lui donner, ne fait rien pour la calmer… Elle espère et redoute… Et son cœur s’affole.
    
    Tala revient, portant un plateau sur lequel se trouvent une cruche embuée de condensation et deux grands verres. Elle dépose le plateau sur leboardwalk, et s’assied sur les marches, tout près de Lizbeth.
    
    Elle sert son invitée, se sert un grand verre de citronnade, et, souriante, la regarde intensément. Elle lève son verre.
    
    — À tes amours… !
    
    Lizbeth a un petit rire…
    
    — Mes amours, tu sais… Ça n’est pas brillant en ce moment…
    
    Et de lui raconter sa rupture.
    
    — Ma chérie… Ce sont tous les mêmes, vois-tu. Moi, j’ai « gaulé » le mien, un soir, au lit, avec une de mes amies, inutile de te dire que ça a été la porte, direct !
    — Il y a longtemps ?
    — Quatre ans !
    — Et depuis… ?
    — Je lui ai trouvé un très beau remplaçant… Je te le présenterai…peut-être.
    
    Tala regarde Lizbeth intensément. Elle lui sourit, elle approche sa main de son visage, et replace une mèche blonde derrière son oreille. Du dos de son doigt, elle caresse sa joue, avec une incroyable douceur… elle la fixe, toujours en souriant.
    
    Lizbeth sent son cœur se mettre à battre plus vite… Elle est tétanisée.
    
    — Que tu es belle !
    
    Lizbeth, timidement…
    
    — C’est la chose la plus gentille qu’on m’ait dite, depuis…
    — Chhhut !
    
    Tala se penche, et pose doucement ses lèvres sur les siennes. Lizbeth reste un instant interdite. Son cœur bat à tout rompre. Fondant ...
    ... soudain, elle se laisse aller, et accepte la bouche moelleuse qui épouse ses lèvres, pour laisser la langue douce et humide, jouer avec la sienne.
    
    Tala la prend alors dans ses bras, et elles échangent un baiser passionné, tel que Lizbeth n’en a jamais goûté, qui la laisse, son cœur cognant à ses tempes, étourdie de plaisir et d’étonnement. Elle se rend compte que l’entrejambe de son short en jeans est trempé de cyprine. Elle regarde Tala et lui sourit avec une mimique coupable.
    
    Tala se lève, lui tend la main, et l’entraîne dans la maison, où la climatisation fait régner une fraîcheur bienfaisante. L’intérieur n’a rien de rustique et western, il est au contraire ultra-moderne, et semble sortir droit d’un catalogue.
    
    Tala l’entraîne dans une chambre douillette, dont elle referme la porte.
    
    — Rien que toi et moi ! dit-elle.
    
    Elle assied Lizbeth sur le bord du lit.
    
    — Laisse-moi te déshabiller, ma chérie. Je ne rêve que de ça, depuis que je t’ai vue sur le petit chemin.
    
    Elle la caresse et l’embrasse, à genoux devant elle, baise tendrement les petits seins, et en mordille les jolis mamelons bruns et durs à travers l’étoffe fine du léger chemisier. Lizbeth, éperdue d’émotion, gémissante, a pris la belle tête de son amante dans les bras, et la serre contre elle, embrassant sa chevelure brune, au parfum qui l’enivre. Elle écarte ses cuisses dans un geste d’invite.
    
    — Caresse-moi, chérie ! Oh ! Caresse-moi encore… ! Je ne savais pas que ça pouvait être aussi bon… encore, ...
«12...456...10»