Canicule
Datte: 02/06/2025,
Catégories:
ff,
campagne,
fist,
zoo,
consoler,
lesbos,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... proximité du Ranch, entourent ce début de promenade d’une quiétude apaisante.
Elle cueille une brindille, la porte à sa bouche et la suçote. Elle dépasse une petite baraque en planches, derrière la clôture, et aperçoit près de celle-ci, à l’ombre des chênes, un cheval. Un alezan magnifique, à la robe luisante, d’une beauté qui la stupéfie.
Elle s’approche des fils barbelés de la clôture.
— Mais, que tu es beau, toi ! Viens… viens !
L’étalon s’approche, Élisabeth peut le caresser. Elle le contemple, s’imprégnant de sa beauté et de sa force. Comme elle aimerait pouvoir le monter !
À peine a-t-elle esquissé sa caresse, qu’elle s’aperçoit que l’animal s’est mis en érection, et produit un sexe énorme, noir, à l’aspect velouté, qui pend lourdement sous son ventre.
Elle ne peut retenir un : « Oooh ! », impressionnée.
Et pouffant de rire :
— Est-ce que c’est moi qui te mets dans cet état-là ?
Alors qu’elle s’apprête à s’accroupir, pour mieux voir l’impressionnant mandrin, elle entend une voix de femme :
— Ça ne m’étonnerait pas du tout !
Un rire clair. Et sur le seuil du cabanon, apparaît une belle femme brune, altière et souriante, s’essuyant le front, d’un revers de sa main gantée.
— Oh ! Pardon Madame, je ne savais pas que vous étiez là… Je n’avais pas l’intention de…
Lizbeth se perd en excuses, confuse et rougissante.
— Il n’y a pas de problème, ne vous excusez pas. Vous ne faites rien de mal.
Elle s’approche. Très belle. Aussi brune ...
... que Lizbeth est blonde, elle doit avoir dans les quarante-cinq ans, et porte sur elle, son habitude de vivre au grand air : son teint, ses bras nus sont halés. Elle a de grands yeux noirs, ombrés de longs cils, et sa bouche s’ouvre, dans un sourire carnassier, sur une dentition parfaite. Toute sa personne dégage une puissante aura de sensualité.
Elle est vêtue d’un pantalon moulant, de toile écrue, et d’un gilet de cuir fauve, ajusté, qui souligne le galbe parfait de son opulente poitrine. Elle est chaussée de bottes à talons, de daim beige, et ses mains sont gantées. L’ensemble est royal.
Pour essayer de dissiper sa gêne, Lizbeth prend l’initiative.
— Bonjour, Madame. Votre cheval est magnifique. Comment s’appelle-t-il ?
— Bonjour, Mademoiselle ! Il s’appelle Flash… De tous mes chevaux, c’est mon favori, mon chouchou, hein, mon tout beau !
L’animal s’est approché de sa maîtresse, et se laisse flatter de la main.
— C’est une véritable splendeur !
— Ça vous plairait de le monter ?
— Oh, oui, alors !
— Eh bien, faites le tour, et venez vous garer près de la maison, je vous y attends dans une minute.
L’après-midi a pris une tournure tout à fait nouvelle, Lizbeth est à la fois ravie, et troublée par cette rencontre, qui met le feu à son âme. La vue de l’énorme mandrin de l’étalon a fait jaillir en elle, des pensées lubriques, insensées, des images obscènes, qui la remuent, au plus profond d’elle-même.
Et, lorsqu’elle repense à la belle propriétaire, c’est ...