Liber Maleficarum
Datte: 01/06/2025,
Catégories:
Sci-Fi & Fantaisie,
Auteur: byLalchimiste, Source: Literotica
Liber Maleficarum Chapitre I
Avertissement : Tous les personnages mis en scène dans cette histoire ont plus de dix-huit ans, et toutes ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est une pure coïncidence.
Le chapitre est assez long et il n'y pas beaucoup de sexe, hormis une scène à la fin. Donc si vous aimez les histoires courtes, celle-ci n'est probablement pas pour vous.
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Au bruit de pas, je levais mes yeux épuisés de mes livres. Tout en faisant nerveusement tourner un de mes stylos entre mes doigts, j'attendais que Mme Rousseau, la bibliothécaire, vienne me dire de partir. Ce n'était pas l'idée de me faire expulser de la bibliothèque qui me rendait nerveux. Chaque semaine, après tout, ce scénario se reproduisait.
Le bruit des talons sur la moquette derrière moi signalait que ce moment allait bientôt se produire et je pris une profonde inspiration quand j'entendis Mme Rousseau arriver derrière moi. Cette profonde inspiration apportait avec elle l'odeur de son parfum qui, même si je n'avais aucune idée de sa marque, me faisait beaucoup d'effet et m'empêchait de me concentrer quand elle était dans les environs.
Enfin, c'est l'une des nombreuses choses qui a cet effet sur moi, songeais-je alors qu'elle se déplaçait pour arriver dans mon champ de vision, près du bord de la table.
Vous connaissez sans doute ce stéréotype : la bibliothécaire vieillotte et insupportable qui vous demande ...
... de vous taire sans arrêt et qui porte une vieille paire de lunettes accrochée à un genre de chaîne autour du cou? Eh bien avec Mme Rousseau, vous pouviez l'oublier.
Non seulement Margot Rousseau était la bibliothécaire en chef de la BU, mais elle était de loin la femme la plus sexy que j'aie jamais rencontrée. Elle était aussi bien sinon mieux que les meufs de ma fac, ce qui n'était pas peu dire.
Comme à son habitude, elle portait un tailleur noir serré avec un petit chemisier blanc moulant qu'elle rentrait dans sa jupe lisse à la limite de la descence. Ajoutez à cela une paire de talons aiguilles, et sa tenue mettaient en valeur ses meilleurs atouts : une taille de guêpe, qui s'épanouissait en une poitrine généreuse et en des hanches larges, supportant des fesses délicieusement rebondies et de longues jambes effilées descendant jusqu'à de minuscules chevilles. Elle portait souvent des bas et parfois quand elle se penchait, je tournais de l'œil en apercevant ses porte-jarretelles.
Comme beaucoup de rousses, sa peau était extrêmement pâle. Cette peau claire produisait un contraste très sexy avec ses longs cheveux roux brillants rassemblés en un chignon sévère. De légères tâches de rousseurs parsemaient ses joues. Ses yeux bleu profond toujours extrêmement intenses et qui semblaient ne jamais rien manquer (et j'étais d'ailleurs sûr qu'ils m'avaient surpris en train de la reluquer plus d'une fois ) brillaient derrière ses lunettes. Lunettes qu'elle portaient accrochées ...