Flagellée Pour Adultère
Datte: 31/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byscribouillard, Source: Literotica
... fouettées, lui offrir leur corps dénudé, la peau vulnérable, jusqu'à le réclamer à genoux. Elles étaient des milliers, ces réprouvées de la société, comme autant de chattes en chaleur pour lui seul. Il les avait dressées comme esclaves sexuelles entièrement dévolues à sa satisfaction. Ce nouveau pouvoir l'a rendu fou. Il bandait à plein temps, éjaculait comme une mitraillette, devenait une bête sexuelle, aidé en cela par des pilules à la chimie efficace. Tarentule a voulu le guider plus loin encore dans la folie. Sa cheffe Mygale, jamais loin de sa subordonnée, a su frapper aux portes du pouvoir, n'hésitant pas où ouvrir ses cuisses quand il le fallait, à se mettre à genoux sous les bureaux ministériels, pour mieux convaincre.
Les politiques ont ouvert à Écureuil la très stratégique prison pour femmes de l'espace, l'établissement le plus sécurisé, réservé aux tueuses en série, aux meurtrières de sang-froid, aux poseuses de bombes, aux braqueuses qui avaient ouvert le feu sur la police. Pour celles-ci, aucune perspective de libération ne permettait de garder l'espérance, sinon un aller simple vers la guillotine nouvellement rétablie en 2060. Depuis cette date, les exécutions ont toujours lieu dans deux stations spatiales spécialement aménagées pour cet usage, avec en leur centre l'instrument fatal : l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes. Écureuil a appris à manipuler l'engin mortel, avec sa lame en céramique propulsée par de petites fusées afin de compenser ...
... l'absence de gravité. Les murs, peints en blanc, étaient maculés de giclées sanglantes du plus bel effet, comme dans un champ d'effroyables coquelicots.
Les condamnées étaient emmenées nues, les mains liées dans le dos. Écureuil les voyait passer devant lui. Il leur souriait, leur parlait gentiment, essuyait les larmes sur les joues de celles qui ne voulaient pas mourir. Il faisait semblant de compatir à leur destin cruel. Elles se confessaient à lui sans crainte, il devenait une sorte de prêtre athée, lascif et caressant, pour celles qui avaient sur la conscience des crimes non encore élucidés -- elles ignoraient que, par l'entremise de Tarentule, la police allait faire usage de ces révélations à l'encontre de leurs complices -, celles dont l'innocence avait été massacrée par une erreur ou un complot judiciaire. Sa voix s'est faite consolatrice. Sa beauté délicate, son regard enchanteur faisait le reste : elles tombaient toujours amoureuses de lui. Pour s'en assurer, il leur faisait croire qu'il pouvait, s'il le voulait, être exécuté à leur place, et qu'il le ferait peut-être. Elles le priaient invariablement de n'en rien faire. Elles avaient l'impression de mourir pour lui, et s'avançaient vers leur trépas l'âme un peu plus légère d'avoir humé le parfum d'une fleur au charme vénéneux, le cœur gonflé d'orgueil de ne plus avoir peur. Grâce à lui, les menottes n'étaient plus nécessaires, et les détenues s'installaient sur la planche du massicotage sans qu'il fût nécessaire de les ...