1. L'assistant sexuel


    Datte: 30/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... son jeune amant par la main et le conduisit vers la pièce d'eau, où un vaste miroir surmontait les deux lavabos. Edson comprit son intention et la pénétra les jambes légèrement fléchies en la fixant via la glace. La dame se révélait décidément une vraie salope. Elle voulait du cul ? Elle allait en avoir. Après l'avoir bien ramonée et observé l'intensité de son plaisir avec le mari en arrière-plan, il se mit accroupi, écarta ses fesses replètes et lui mit la langue dans l'anus. Il l'entendit gémir et passa aussitôt à l'action. Il se releva, la fixa à nouveau via le miroir et entreprit de s'introduire dans son anneau intime. La bouche de Marie-Luce s'ouvrit tellement grand qu'il put même apercevoir sa glotte. Mais la résistance faiblit. Il s'engagea peu à peu et il enregistra avec satisfaction un mouvement de hanches qui ne laissa pas place au doute : Marie-Luce adhérait. Et c'est un visage tantôt douloureux et tantôt extasié que lui renvoya le miroir de la salle de bains, où le choc des peaux se mêlait aux exclamations féminines. Jusqu'à devenir plus crue :
    
    - Oh putain ! Oh la vache !
    
    Ce cri du coeur... et du ventre eut cette fois raison de la résistance du jeune homme. Il lâcha tout dans sa capote, la retira, prit Marie-Luce par les épaules, la força à s'accroupir et finit de gicler sur elle. Avait-elle joui ?
    
    - Ah oui, plutôt deux fois qu'une, finit-elle par lui avouer.
    
    *******
    
    Cet épisode ...
    ... marqua un tournant dans la vie de ce couple de quinquagénaires. Simon décida de changer de travail pour une activité moins stressante, fit un régime, s'inscrivit dans une salle de sports et perdit dix kilos. Son ardeur sexuelle en fut la principale bénéficiaire, ce dont Marie-Luce profita pleinement. Néanmoins, ils recevaient Edson une fois par mois pour s'éclater car Marie-Luce était une véritable droguée de sa queue. Jusqu'au jour où le jeune homme leur annonça qu'il avait trouvé l'âme soeur et qu'il devrait interrompre ses visites, malgré le plaisir qu'il y prenait. Une fois la déception évacuée, le couple se mit en recherche d'un remplaçant car ils avaient pris goût à ce qui était devenu un véritable trio amoureux. Le couple avait même osé la double pénétration anale-vaginale, avec succès, pratique qui nécessitait évidemment d'être à trois. Mais au-delà, c'était l'excitation qu'il prenait à cette pratique relevant moins du candaulisme que de la fantaisie sexuelle, car Marie-Luce ne voulait pas d'un deuxième mari. Un nommé Barnabé, à la peau aussi sombre que son prédécesseur, fut l'heureux élu, ce qui permit à Marie-Luce de passer d'une bite longue et fine à un braquemard qui la rendit plus chienne que jamais. A cette différence près que l'engin n'avait pas accès à son cul, mais ce n'est qu'un détail. De toute façon, l'endroit était devenu la privauté du mari. Une conquête sexuelle, en quelque sorte... 
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