1. COLLECTION BOURGEOISE. Les Soudanais (2/2)


    Datte: 30/05/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... sol.
    
    Je vais pour les ramasser, mais je suis tirée par le bras.
    
    • Viens, on s’en fiche de leurs bidules !
    
    En chef de famille, il ouvre la marche et nous nous retrouvons dans l’impasse à cinq mètres de mon véhicule, tous s’engouffrent et je démarre ayant tout de même l’impression de faire une bêtise.
    
    • Entrez, on va voir, comment s’organiser.
    
    Bouba met ses frères dans le salon, ils ont l’habitude de vivre à la dure et trois d’entre eux se couchent à même le sol, au moins, il fait chaud, nous avons le chauffage par le sol.
    
    Nous rejoignons ma chambre, je suis fatiguée, mais je prends le temps de le sucer avant qu’il me prenne en missionnaire.
    
    Je jouis de nouveau, sans grand orgasme, c’est mieux, car le dernier a été dévastateur.
    
    Il se lève me disant qu’il va boire de l’eau au robinet et prendre une douche.
    
    Ça fait cinq minutes qu’il est parti, la pièce est dans le noir lorsque je le sens revenir et monter sur le lit.
    
    Il enlève la couverture sous laquelle je me suis réfugiée lorsqu’il m’a abandonné.
    
    Il écarte mes jambes et je sens sa langue venir retrouver ma chatte.
    
    Je suis repu, mais ses grosses lèvres sur mon clito m’obligent à reconnaitre que je suis encore partante pour quelques moments de plaisir.
    
    Je me doute que dans sa situation, arriver à entrer dans le lit d’une jeune bourgeoise comme moi ce doit être rare, j’ai commencé à tromper Christophe, il est trop tard pour faire marche arrière.
    
    Un détail m’interpelle, ce doit être à ...
    ... cause de la douche, l’odeur que je capte est différente que celle que me renvoyait Bouba.
    
    Des bruits au pied de mon lit finissent par m’interpeller, mais la bite qui s’active en moi me prive d’une partie de mon pouvoir d’analyse et je pars pour un ultime voyage vers le septième siècle.
    
    Quel homme, il vient de finir de décharger et, pourtant quelques secondes après ce que je pensais être l’ultime jouissance, sa bite est de nouveau sur mes lèvres.
    
    J’ai peur de comprendre ce qu’il se passe, ma main trouve, la pomme de la lampe de chevet de mon mari j’allume.
    
    • Laisse toi faire, Jennifer, mes frères sont comme moi en manquent de sexe féminin.
    
    C’est incroyable, c’est impensable, ils sont tous les quatre nus leur bite à la main attendant leur tour pour me baiser.
    
    Je suis à deux doigts de crier au viol, mais mon cri reste dans ma gorge.
    
    Ma voisine est sourde dès qu’elle enlève ses prothèses auditives.
    
    Et que dire à la police, j’ai ramené ces quatre garçons pour les soustraire à un risque d’expulsion pour les beaux yeux du frère ainé et les quatre m’ont violé.
    
    Surtout que celui qui est sur moi me tendant sa bite, je la laisse entrer, sans allumer, j’aurais compris, car sa bite rentre facilement là ou Bouba, j’ai pu seulement le lécher en le masturbant.
    
    Bouba, un deuxième lorsqu’il m’a fait croire partir prendre une douche, il manque à mon tableau de chasse le quatrième frère que je sens monter sur mon lit, les ressorts bougeants.
    
    À partir de ce moment je ...