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Un gang-bang qui tourne mal Ch. 02
Datte: 30/05/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... sais même pas depuis combien de temps ils ont arrêté. Ils ont tous reculé et ils se sont regroupés. Ils me regardent sous toutes coutures, car je suis complètement couverte de foutre. C'est surtout mon visage qui en est recouvert. J'en ai tellement qu'à chaque fois qu'ils baisaient ma figure en donnant un coup de rein, le sperme éclaboussait tout autour. Je ne peux pas voir mon dos, mais je pense qu'il est bien recouvert lui aussi. Je lève la tête et j'essaie d'attirer l'attention du chef. C'est difficile de la voir, car j'ai du sperme sur les paupières. Lui me regarde directement dans les yeux et je ressens de nouveau ce sentiment étrange, comme si j'étais vraiment pathétique et qu'il était beaucoup supérieur à moi. - C'est... C'est fini? Demandé-je en me disant que ça devait sûrement l'être. Après tout, mes amants ont toujours arrêté après avoir joui. Et eux ont joui au moins deux fois déjà, certains sûrement plus. Alors ils ne peuvent pas continuer n'est-ce pas? - Terminé? Pas du tout! Dit le leader en riant méchamment. Les autres se joignent rapidement à lui. Je soupire et laisse ma tête retomber. Je sens des gouttes de sperme tomber au sol. Je ne sais pas ...
... pourquoi j'ai posé cette question alors que je connaissais très bien la réponse. - Détachez-la et lavez-la. Ensuite on passera à la balançoire à bascule. Il faut qu'on baise ce cul. Proclame le chef. Une partie de moi veut commencer à sangloter tandis qu'une autre partie semble se réjouir. Je veux que ça se termine, mais je veux aussi que ça continue. Je n'ai jamais été autant exploitée et baisée. Je ne me suis jamais sentie aussi faible. Je ne me suis jamais sentie aussi en paix. Je n'ai jamais été autant en conflit entre mon esprit et mon corps. Auparavant, j'avais toujours honte de demander à un de mes petits amis de faire l'amour. Et j'étais beaucoup trop gênée pour demander des choses trop perverses de peur d'être cataloguée comme salope. Mais aujourd'hui, je me sens... libre. Je sais que mon éducation lutte contre cette liberté, en essayant de me faire ressentir honte et embarras. Mais ces connards de jeunes savent toutes les choses que j'ai voulu essayer et ils vont me le faire. Ils ne me jugent pas, ils veulent juste profiter de moi, s'amuser, prendre du plaisir. Je m'aperçois que je souris quand ils commencent à me détacher pour passer à la phase suivante. A suivre...