Grossesse révélatrice
Datte: 29/05/2025,
Catégories:
f,
fh,
ff,
extracon,
vacances,
Masturbation
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
regrets,
lieuloisi,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... déshabiller.
Cette semaine était passée beaucoup trop vite et touchait presque à sa fin. Certes, elles étaient tombées malades et cela avait gâché quelque peu le séjour, mais il y avait eu aussi de très bons moments.
— Dans deux jours, nous serons dans le car qui nous ramènera à l’aéroport, soupira Claire. Comme ça passe vite !
— C’est ma faute, on aurait pu partir deux semaines, mais j’ai eu peur que ce soit trop long pour toi.
— Deux semaines, tu rigoles, j’aurais préféré deux mois, deux ans, répliqua la blonde aux gros seins avec un large sourire.
Talia se blottit un peu plus contre elle.
— Je t’aime, je t’aime vraiment, s’entendit dire la femme enceinte.
— Moi aussi je t’aime, comme une folle.
Elle repensa à Jean-Luc. Elle se dit qu’elle ne l’avait jamais vraiment aimé. C’était un bon baiseur et ils s’entendaient bien sur plein de choses de la vie courante, mais elle n’avait jamais été vraiment amoureuse de lui, amoureuse comme elle l’avait été durant son adolescence, amoureuse comme elle l’était maintenant. C’était ça l’origine de la crise… beaucoup plus que le fait qu’il ne la touchait plus, Car retirées les parties de jambes en l’air il ne restait rien, aucune passion, aucun sentiment, rien que le quotidien à gérer : c’était juste un bon copain avec qui elle s’entendait bien. Ce sentiment si fort qu’elle éprouvait pour la petite Portugaise mettait tout ça en évidence, c’est ça qui lui manquait avec son conjoint : un véritable amour.
Quel désastre ...
... d’avoir fait un enfant avec un homme avec lequel elle n’avait plus envie d’être ! Parce que, telle qu’elle se connaissait, maintenant qu’elle savait, elle ne pourrait plus continuer comme ça, faire comme si elle ne se rendait compte de rien et reprendre la vie avec son homme. Et le pauvre Jean-Luc ne pourrait rien y faire, l’amour, ça ne se commande pas.
— Tu es avec moi, chérie ?
Talia la secoua presque pour la sortir de sa torpeur. Le mot « chérie » raisonna comme une mélodie à son oreille.
— Dis-moi la vérité, tu es venue vivre à Toulouse pour moi ? Car tu n’y as aucune attache…
— Devine !
— J’aimerais l’entendre de ta bouche.
— Oui, je n’ai pas d’atome crochu avec la ville rose, mis à part toi.
— J’ai dû te faire très mal pendant toutes ces années, je sais que tu as toujours été amoureuse de moi.
— Quand tu as décidé d’emménager avec Jean-Luc, pour moi ça a été une vraie douche froide, je suis tombée des nues et j’ai fait une grosse dépression. J’ai préféré couper les ponts, j’ai préféré ne plus te revoir. Mais avec le temps, je me suis remise, j’ai essayé de vivre ma propre vie. Et un jour, il y a à peu près trois ans, quand j’ai retrouvé des photos de toi au fond d’un tiroir, j’ai tout de suite eu envie de reprendre contact. Je t’ai envoyé des énigmes sur Messenger, ensuite on a échangé par téléphone, et rien que le fait d’entendre ta voix, j’ai eu envie de me rapprocher de toi. Je n’y peux rien, je t’aime, je t’ai toujours aimée. Tu te souviens de toutes ...