Livrée en pâture sous tes ordres… - Histoires de Sexe

Livrée en pâture sous tes ordres…

... malade pour toi.

Entre ta missive et toutes ces mains sur mon corps, dans mon corps, je gémis et coule sur celui ou celle qui me fourre la chatte avec vigueur. Fin du premier round, la mise en bouche est une réussite, les convives regagnent leurs places. Petit coquin, tu glisses un doigt en moi, un seul, tu l’enfonces, tu tournes, tu recueilles ma mouille, et quand tu le retires, tu le passes sous ton nez pour le sentir, le humer, et à grand renfort d’effets, tu le mets en bouche et tu le suces.

— Pour l’entrée, tu sais, je te l’ai dit, je t’emmène vers la chaise avec les étriers. Installe-toi, oui, avance ton bassin, n’oublie pas le plug anal qui décore ton cul, il faut que tous en profitent.

Tu me prends un pied et, délicatement, tout en douceur, tu le déposes dans le premier étrier. Tu fais de même avec le second. Ma moule est offerte… luisante de mouille… profonde… froissée de ces petites et grandes lèvres. Je frissonne, non pas de peur, mais d’envie. Je sais que je vais réaliser maintenant un fantasme, encore un que je pourrais cocher avec toi. Merci. Tu appelles six personnes… douze mains et six langues pour t’accompagner dans ta tâche.

Oui, mets-toi devant moi ! Les yeux dans les yeux à moins d’un mètre… Vas-y, mon tortionnaire, fourre-moi ta main dans la chatte.

Tu démarres en douceur, un doigt, deux doigts, trois doigts… Hummmm, je frissonne, je tremble d’envie sous les mains et les langues qui aspirent mes tétons, caressent, jouent avec mon plug, ...

... mais sans le retirer, ce n’est pas encore le moment. Tu entres, tu sors, tu écartes ma chatte. Oui, tu le sens bien, moi aussi, je coule et lubrifie ta main, pas besoin d’autre chose.

Vas-y, quatre doigts à l’entrée de ma grotte intime, pousse, encore, vas-y, plus fort. STOP ! Tu sens que je m’écartèle ? Tu sens que je coule ? Je hurle de plaisir, oui, vas-y, pousse encore, doucement, tourne ta main avec délicatesse, tes doigts ont disparu en moi, pousse encore, je ne vois plus tes phalanges, tes métacarpes sont en moi, ton pouce à disparu, oui, le plus gros est rentré. Ça y est, tu es en moi, ton poing entier est en moi, ta main est en moi, mon premier fist… Je ferme les yeux, laisse ma tête tomber en arrière et je hurle mon plaisir. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est bon, ta main en moi, je suis remplie, je ressens tout, je suis pleine de toi. Je n’en peux plus, bouge tout doucement.

Et je jouiiiiiii, puissamment, c’est méga fort, je ne pensais pas jouir autant. Oh putain, j’en tremble… Je pars, je connais enfin la petite mort… je viens de jouir si intensément… Embrasse-moi et retire-toi… Oh putainnnn, oui, quelle jouissance… !

Impossible de marcher… tu me portes et me poses sur le cheval d’arçon. Je suis à quatre pattes, mais soutenue par le cheval. Tu m’attaches les chevilles et les poignées. Je suis épuisée, tu me laisses récupérer… vingt minutes pendant lesquelles je t’ai vu et entendu prendre et donner du plaisir sous les mains des convives de gauche. Je suis contente ...