1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Première nuit à Paris (1/1)


    Datte: 28/05/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... entrée dans l’antre du diable.
    
    Olga m’ayant pris le bras me conduit vers un couloir et en passant devant la salle à manger, je remarque une vingtaine de femmes et d’hommes.
    
    Ils sont tous aussi dévêtus que notre hôtesse, dansant en se frottant de façon perverse.
    
    • Tiens petite fleur, prend un verre, après nous irons te mettre en tenue pour que tu connaisses et découvre les premières heures de ta vie parisienne.
    
    Le verre, je le bois cul sec, l’atmosphère de cette maison, m’ayant donné soif, mais moi qui suis vierge, j’ai surtout l’envie de me sauver en courant.
    
    Arrivé dans la chambre, Olga m’aide à retirer ma robe, comment je me retrouve nue sans grande réaction, je l’ignore.
    
    Lorsque sa main vient sur mon sein après qu’elle lui ait enlevé son soutien, je suis sans réaction, mais j’aime bien.
    
    Je suis vierge de toutes pratiques sexuelles encore plus féminines que masculines.
    
    Une fois avec Angelle, nous avons pris notre douche ensemble après dix kilomètres de courses à pied.
    
    Un moment elle a voulu se retourner pour régler l’eau qui nous tombait dessus, nos seins se sont touchés et un courant électrique est passé.
    
    Elle a rigolé, mais ça en est resté là, elle a réglé l’eau, elle m’aurait passé une main entre mes cuisses, je crois que nous nous serions gouinées.
    
    Là, c’est Olga qui le fait et sa bouche, c’est la sienne qui vient sur la mienne.
    
    Qu’ai-je bu, je l’ignore, mais je me sens toute chose, Olga me dirige vers cette bande de débauchés que ...
    ... j’ai vus en passant ?
    
    Angelle est là, ou s’est-elle dévêtue, je l’ignore, car elle l’est.
    
    Deux hommes l’ont prise en main, elle aussi tient une coupe dans les mains.
    
    Un serveur passe près de nous Olga récupère deux coupes, je bois, c’est doux, mais mes jambes ont du mal à me soutenir.
    
    • Annita, je te présente mon mari, Gilles, je te laisse entre ses mains, j’ai quelques ordres à aller donner aux personnes de service.
    
    • Bonjours belle enfant, Angelle nous a vanté ta beauté, elle était à mille lieues de la réalité.
    
    Un baisemain, tout à fait conventionnel, mais l’autre qui me plaque contre lui, il est nu, c’est la première verge que je sens sur mon vagin, tellement il me serre fort sur lui.
    
    J’ai envie de lui dire que je suis vierge, mais sa main me prenant la mienne là déposant sur sa verge me fait perdre toute notion du bien ou du mal.
    
    Comment me suis-je retrouvé sur un canapé après lui avoir sucé la queue, c’est un mystère qui en restera toujours un ?
    
    Je le suce, il me rend la pareille et avant que j’aie le temps de compter jusqu’à trois, mon pucelage m’est enlevé.
    
    Il me quitte sans autre forme de procès et dans les minutes qui suivent, je me retrouve dans les bras de deux autres hommes d’âge mûr.
    
    • Tient petite prend ça, aspire un coup, tu verras nos bites seront encore meilleurs après.
    
    Je suis une vraie baudruche ou encore une poupée de chiffon.
    
    Combien de bites, de chattes, je suce ou me suce, je suis incapable de le dire, j’ai perdu ...