Histoires d'une infirmière (6)
Datte: 27/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Trekkie, Source: Hds
... ?
Heu ... oui ...volontiers.
Quand il la lui servit, elle lui frôla la main de sorte que nos doigts s’unissent une seconde. Je lui dédiai un sourire éclatant.
Je crois que nous allons nous entendre, Mademoiselle Fanny.
Moi aussi ... Alfred ...
Heu ... Je ... ne suis pas ... habitué à tant de familiarité.
C'est parce que nous ne sommes pas tout à fait de la même génération. Nous sommes beaucoup plus familier que les personnes de votre âge. Et quand nous avons quelque chose à dire, nous le disons, c'est tout. Mais vous, vous vous laisseriez mourir plutôt que de l'avouer. Vous êtes encore très séduisant ...
C'est parce que ... Je pourrais être votre père. ... J'ai connu une fille dans les temps qui s'appelait comme vous ... mais ça fait trop ... trop longtemps ... je crois bien que je suis trop vieux ... Pour rêver.
Voyons, voyons, qu'est-ce que vous me chantez là ? Un homme robuste comme vous.
Fanny sentait qu'elle devait aller plus loin si elle ne voulait le perdre. Elle joua alors le grand jeu.
j'adore les années cinquante ; ses voitures, sa mode, tout ! ... Je déteste les collants ! Vous aimez la teinte fumée de mes bas ? C'est de la soie ...
Elle avait visé juste, après avoir relevé sa jupe, ses yeux s'accrochèrent, au noir dessin de son porte-jarretelles, comme la nuit d'avant. Son regard remonta sur le haut des ses cuisses nues. Sous l’émotion , il s'affala dans un fauteuil. Cela n'arrangeait pas les affaires de notre amie, il était ...
... maintenant impossible qu'il vienne vers elle. C'est donc elle qui se leva.
Oh ... extraordinaire! Des vinyles ... j'aime ce genre de musique !
Elle remuais les épaules en faisant tressauter ses seins et sa robe descendait de plus en plus ... Le bord de l'échancrure vint s'accrocher aux pointes érigées de ses seins. Ses tétons se dressaient sous la fine couche étoffe. Les yeux d'Alfred étaient sur le point de sortir de leurs orbites. Pouvu que son cœur ne lâche pas. Mais tout à coup, alors qu'elle passait juste devant lui. Il bandit du sa place et l'attrapa . Il mit ses mains sur ses genoux et les fit remonter sur ses cuisses satinées. Ses doigts touchèrent sa chair nue, il effleurèrent l'entrejambe jusqu'à son string. Il sentit tout de suite qu'elle mouillait.
Oooh ! ... Mon dieu ...
Il se glissa entre ses jambes puis les ouvrit. Ses yeux ne pouvaient plus se détacher de son intimité à laquelle collait indécemment son string. Puis il pencha sa bouche, embrassa tendrement ses cuisses en feu. Le contact sur de sa langue sur sa chair brûlante fit frémir Fanny, des pieds à la tête. Ses jambes commençaient même à trembler. Alfred aventura ses lèvres et sa langue jusque sur les pourtour de son string. Fanny, même si elle avait appris à se contrôler, elle sentit des bouffées de chaleurs l'envahir.
C'est bon, oh ... comme c'est bon ... Je ne peux plus tenir ! ... Aaaahhhh !
Fanny sentait bien qu'il n'irait pas plus loin qu'un cunnilingus et elle se laissa aller. Elle eut ...