1. Nièce


    Datte: 27/05/2025, Catégories: ffh, couple, extracon, oncletante, jardin, caresses, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Quelle idée ont les femmes de vouloir ressembler à des petites filles ? C’est prendre leurs partenaires pour de potentiels pédophiles. C’est peut-être plus hygiénique, et encore, mais tellement moins érotique. Alors que rien qu’imaginer déverser mon liquide nacré sur ce tapis d’astrakan me fait bander encore plus fort. Bien sûr, il faut faire l’effort, comme moi en ce moment, d’écarter ces longs poils pour dégager le sillon d’amour : plaisir de la découverte, de l’explorateur dans la forêt presque vierge. Mais quand ces délicates chairs roses ourlées de brun apparaissent, quel bonheur. Je me jette dessus comme un affamé, aspirant et suçant grandes et petites lèvres déjà dégoulinantes de mouille, fouettant le clitoris à petits coups de langue, explorant l’entrée de sa grotte de mes doigts inquisiteurs. Elle gémit de plus belle, coule de plus en plus fort, elle est plus que prête à me recevoir. Je la retourne face à la paroi de planches et mon gland rejoint le chemin balisé par mes doigts qui écartent son orifice. Dieu qu’elle est serrée ! Mon gland dilaté n’a pas de mal à la pénétrer tant elle est mouillée, mais il force sa tendre muqueuse à s’écarter comme elle ne l’a pas fait depuis des mois. C’est délicieux, pour moi comme pour elle puisqu’elle murmure :
    
    — Oh ! Comme tu es gros, tu me remplis complètement. C’est trop bon…
    
    Alors je commence mes va-et-vient en elle dans un bruit de clapotis érotique. Mais je peine. J’ai beau avoir les jambes écartées, je dois aussi les ...
    ... fléchir, les siennes étant tellement plus courtes. A chacun de mes coups de boutoir, ses pieds décollent du sol. Alors je la retourne et la soulève de terre, elle est tellement légère. Ses cuisses fines viennent enserrer ma taille et elle s’empale sur mon dard dressé. Je l’adosse à la paroi, les planches craquent un peu mais tiennent bon, et je la bourre frénétiquement, sentant sa cyprine couler sur mes testicules. Elle gémit doucement par le nez, mord un de ses poings serrés pour ne pas hurler, puis soudain se contracte toute entière en un long et puissant frisson. C’est sa façon à elle de manifester son orgasme, un tremblement qui affecte tout son corps, à l’extérieur comme à l’intérieur. Mon pénis est soudain étranglé et parcouru par ces étranges vibrations qui, presque instantanément, provoquent mon orgasme. Un geyser de sperme gicle en elle, toute la semence retenue depuis des jours l’inonde, épaisse et brûlante, provoquant une seconde vague d’ondes dans tout son corps. J’attends en elle un long moment que son corps retrouve son calme. Son visage est rouge et porte encore les plis de la grimace du plaisir. Des gouttes de nos sucs mêlés tombent sur le sol en longs fils poisseux.
    
    — Vite, ma culotte, je veux te garder en moi toute la nuit…
    
    Elle roule son collant en boule et l’emporte à la main. Je regarde ses petites fesses pommées dandiner à chaque pas sous le bas de mon pull-over, et ce petit cul me fait encore envie même si mon sexe n’en peut plus. Sur le seuil de ...
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