Nièce
Datte: 27/05/2025,
Catégories:
ffh,
couple,
extracon,
oncletante,
jardin,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... cuisse. Pendant un instant, la pression sanguine monte d’un cran dans mon sexe, j’essaie de vite chasser cette mauvaise idée. Puis elle ferme le tout et me claque une bise sur la joue pour me remercier, déclare aller se coucher aussi. Avant de monter dans sa chambre, elle se penche sans fléchir sur son sac à main posé au sol près de l’escalier en marmonnant :
— Ah, ma pilule…
C’est vrai que ses petites fesses, qui repoussent la jupette en arrière, ont l’air bien rondes et assez charnues. Elle gobe le petit comprimé et monte en m’envoyant un baiser. Je me sens plutôt émoustillé, et je vais à nouveau faire un tour dehors pour que la fraîcheur me calme. Parce que gaule ou pas gaule, pas question de réveiller Daphné pour une séance de zizi-panpan ! La pauvre manque de personnel dans son service et risque fort, surtout lors d’un week-end prolongé avec des urgences surchargées, de faire ses vingt-quatre heures non-stop, avec à peine une heure ou deux de récupération sous la menace des sonneries.
Le samedi se passe comme j’avais prévu : elles campent dans la cuisine pour papoter, le matin prétextant de préparer le déjeuner et l’après-midi bien sûr pour laver et ranger la vaisselle. En fait, leur position statique me gêne plus qu’autre chose, car pendant ce temps-là, moi j’agis. Jusqu’au moment où Roxane s’étonne :
— T’en a de la chance, Daphné, d’avoir un mari qui assure comme ça. Didier, lui, devait vaguement savoir qu’une pièce de la maison s’appelait « cuisine » ...
... mais il n’y mettait jamais les pieds !
— C’est vrai, j’avoue qu’il est adorable. Mais je me rattraperai aux vacances.
— Arrêtez les filles, vous allez me faire rougir…
Et puis je m’en vais bricoler un peu dans le jardin. Elles me rejoignent, on parle arbustes et fleurs, Roxane se met à me questionner pour son propre jardin, et Daphné nous quitte pour préparer le sac qu’elle emporte pour sa longue permanence. Nous dînons très tôt, à dix-neuf heures, et mon épouse nous dit au-revoir avant de se coucher, après avoir pris un petit somnifère et en me glissant ce rappel :
— Je t’en prie mon chéri, sois gentil avec elle. Elle est encore très déstabilisée et très fragile…
C’est promis. Je m’installe dans le canapé pour regarder un pauvre film à la télé, Roxane vient se caler contre moi. Le film est mauvais, nous le prenons à la rigolade notant toutes les incohérences et les stupidités de cette œuvre mineure. Puis je sors fumer ma dernière cigarette. Il fait meilleur que la veille, je m’offre un tour de jardin nocturne. Roxane me rattrape, elle a de nouveau enfilé mon pull, et se pend à mon bras connaissant moins bien les lieux que moi. Elle me parle de son divorce, du remariage si rapide de son Didier qui ne laisse pas de doute sur le fait que sa relation avait commencé bien avant leur séparation, et puis en vient aux confidences intimes :
— Tu vois, Didier au début était un peu… chaud lapin. C’est même moi qui l’avait un peu calmé parce que… Ben parce qu’on est pas des ...