Nièce - Histoires de Sexe

Nièce

... instantanément en jus de navet et je débande d’un coup. Ma vie s’écroule. J’ai fait le con, je paye cash. Je retombe assis au bord du lit et me prends la tête à deux mains, au bord de l’évanouissement. J’entends comme dans le lointain les deux filles qui rient, je suis en train de faire un cauchemar, je vais me réveiller. Roxane s’agenouille dans mon dos, Daphné s’accroupit devant moi.

— Mon pauvre chéri, tu n’as vraiment pas la notion du temps. Mon week-end de garde c’est dimanche prochain… Tu as bien marché dans notre petite combine, pire tu as couru !

Combine ? Quoi ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Pourquoi Daphné est-elle pieds nus en peignoir ici chez Roxane ? Pourquoi ne me fait-elle pas une scène épouvantable ? Elle poursuit :

— C’est moi qui ai organisé ce petit scénario. Je sentais bien que j’étais une mauvaise épouse, que je te délaissais avec mon boulot de dingue et mes horaires à la noix. Mais c’est capital pour moi, et puis je ne suis pas très… portée sur la chose. J’ai vraiment craint qu’un jour tu me quittes pour une autre, une femme plus attentive, plus aimante. Pourtant je t’aime profondément et je ne voulais pas te perdre. Et puis il y avait Roxane, seule, torturée par des besoins physiques que je ne connais pas. Tu sais, on se dit des choses entre filles. Je l’aime elle aussi, alors j’ai pensé que… ce serait mieux avec elle qu’avec n’importe qui, qu’elle te donnerait ce que je ne te donne pas et qu’elle y trouverait son compte aussi. Mais ...

... voilà, il fallait essayer, voir si ça pouvait coller. Et ça fonctionne plutôt bien, non ?
— Pour moi en tout cas, reprend Roxane dans mon dos, tu es l’amant idéal. Je ne demande pas plus.

Le ciel me tombe une seconde fois sur la tête. Je me suis fait piéger comme un bleu par ces deux coquines. Je finis par éclater de rire, un rire nerveux au bord des larmes. Je prends Daphné dans mes bras et la serre très fort.

— Tu sais je t’aime, profondément…
— Je n’en doute pas un seul instant mon chéri, mais tu vois, il suffisait d’une fille décidée et hop, je te perdais.
— Vous êtes… deux tordues, deux bonimenteuses.
— Pour ton plus grand plaisir, mon chéri, avoue ?
— Oui c’est vrai. Je craignais même de tomber amoureux de Roxane…
— Han han, fit l’autre dans mon dos, intéressant !
— Tu vois, au lieu que Roxane tombe encore sur un sale type, au lieu que tu me quittes un jour pour je ne sais quelle pétasse, tout est en place pour une vie heureuse à trois. Nous nous aimons tous les trois et nous avons tout ce qu’il faut pour être heureux ensemble. D’ailleurs, reprenez où vous en étiez, ça m’a donné des envies de vous regarder…

Ma Daphné laisse tomber son peignoir, s’agenouille et commence à me sucer, ce qu’elle ne fait pratiquement jamais. Je me laisse aller contre Roxane, qui me caresse et me roule des pelles fantastiques. Un moment plus tard, nous faisons l’amour tous les trois. Je passe avec fougue et ravissement de la chatte de l’une au cul de l’autre, tandis que celle ...