Voyage en avion - Histoires de Sexe

Voyage en avion

... déjà bien bronzées. Sa poitrine est celle d’une gamine. Son regard est toujours craintif et j’espère que les petits sourires que je lui adresse la rassurent un peu.

Nous arrivons dans l’avion et l’équipage commercial nous accueille à la porte

— Bonjour, Madame, bonjour, Monsieur, vos places sont de ce côté-ci, nous indique une très charmante hôtesse à la vue de nos cartes d’embarquement, en nous montrant du doigt l’avant de l’avion

De leur côté, nos jeunes amis sont orientés vers la queue de l’appareil. Mines désappointées que je tente de consoler en leur lançant :

— Pas grave, je viens vous voir pendant le vol et de toutes les façons on se retrouve demain matin à Abidjan.

Nous voilà maintenant installés à nos sièges, en classe Business, privilège que Christophe m’avait caché et qui vient du fait de son appartenance aux salariés de la Compagnie aérienne.

— Petit cachottier, lui dis-je en l’embrassant tendrement sur les lèvres.

Christophe est tout hilare et me rend mon bisou en me caressant doucement les cuisses. Ce geste n’a pas échappé à l’hôtesse qui nous apporte deux coupes de champagne. C’est une superbe métisse avec des yeux très rieurs et qui voyant notre satisfaction évidente et mon air surpris nous lâche :

— C’est votre premier voyage ? Vous avez de la chance, il y a peu de voyageurs ce soir et c’est pourquoi vous avez été surclassés.

Puis en nous fixant d’un air plus coquin, elle rajoute :

— Profitez bien, je suis à votre entière ...

... disposition en cas de besoin.
— Ouah, quelle classe ! dis-je à l’oreille de Christophe, elles sont vraiment super les hôtesses de ta Compagnie.

Je la suis des yeux tandis qu’elle se dirige plus à l’avant. Sa jupe très moulante me laisse deviner un fessier musclé, elle marche en accentuant un déhanché très provocateur. Arrivée devant le rideau qui nous sépare de la première classe, elle se retourne en me fixant et me fait un coup d’œil qui laisse suggérer toute interprétation.

Christophe qui a suivi toute la scène, et qui connaît ma forte attirance pour les jolies personnes de mon sexe me dit à l’oreille :

— Hé hé, on atterrit maintenant, il va falloir tout d’abord me faire de très très gros câlins avant de penser aux atouts de notre personnel féminin.
— Gros bêta, tu sais bien que je ne peux pas me passer également de ça, lui dis-je en malaxant son entrejambe. D’ailleurs, vu le redressement de la bête, je pense que ta jolie hôtesse ne t’a pas laissé insensible.

L’arrivée d’un couple très élégant de quinquagénaires dans notre cabine nous fait arrêter nos attouchements. L’hôtesse, toujours très classe, revient et leur indique leurs sièges, à notre hauteur, mais de l’autre côté du couloir central. Elle se penche pour leur donner ses consignes et j’ai devant les yeux ce fessier qui me trouble tant. Christophe, pour me narguer, me maintient fermement les mains, sachant ce que mon cerveau imagine et ce que je ne peux pas faire de toute manière.

Ensuite, elle se retourne ...