1. COLLECTION LES CHIENNES. Chienne, oui, mais comment ? (2/2)


    Datte: 26/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Trois, à table dans ce bon restaurant, pendant les vacances de mon mari et de mes filles.
    
    Erreur, trois hommes dont des jumeaux blacks, je fais attention d’éviter l’erreur sur les jumeaux comme je l’ai fait en parlant de Jade et Adeline.
    
    Des jumelles qui ont contribué à ce moment où j’ai tout fait pour changer mon image pour être sûr de trouver un mâle en rut, prêt à m’apporter le grand frisson qui m’a toujours échappé depuis mon dépucelage.
    
    J’ai longtemps cru que ce que m’apportait mon mari au lit était la norme pour toutes les femmes.
    
    J’ai été éduqué avec l’idée qu’une épouse était sur terre pour souffrir, j’irais même jusqu’à dire pour « en chier », mais mon éducation m’interdit d’employer de tels mots !
    
    Internet m’a permis de comprendre mon erreur et que l’interdit était déjà le premier pas vers la découverte de ce que mon corps est capable de ressentir.
    
    Le repas se déroule sans anicroche, si je profite des absences familiales, ces trois copains en font de même, eux, leurs femmes sont aussi avec les enfants en vacances à la mer.
    
    Ce qui me rassure, mais qui me pose aussi problème, c’est les photos qu’ils me présentent de leurs épouses et de leurs enfants.
    
    On est bien loin des bites, pardon de la bite que j’étais venue chercher en pénétrant dans ce club avec ma tenue affriolante.
    
    Alim tout au long du repas mate mes cuisses, son regard me gêne presque alors qu’il m’a montré sur son portable les photos de sa femme aussi blonde que je suis ...
    ... brune.
    
    Les photos me montrent leur fils joli petit métisse.
    
    La femme de Matias est plus grande que lui et ses deux enfants presque de l’âge de mes filles sont, elles aussi très belles.
    
    Quant à Alexandre, lui seul est célibataire, mais porte alliance, car pacsée.
    
    La belle black qu’il me montre est sans enfants, mais elle aussi très bandante.
    
    Le repas est appétissant et les vins après un autre whisky avec glace succulant.
    
    Le blanc puis le rouge suivi d’une bouteille de champagne me grise un peu, même beaucoup et c’est pompette que nous quittons ce restaurant ou en gentleman ils ont partagé l’addition.
    
    Le café et l’air extérieur me font un peu de bien mis pas suffisamment pour refuser d’aller chez Matias boire un dernier verre de champagne.
    
    Il habite à deux pas du restaurant.
    
    Alim m’a pris la main, ce noir est loin de moi et de mes fantasmes.
    
    Certaines femmes flash sur les bites noires, je dois dire qu’à ce jour la couleur dans mes rêves m’est apparue toujours comme celle de Christophe, blanche.
    
    Au moment de prendre l’ascenseur un doute m’assaille.
    
    Ils sont trois et je suis seule, situation incongrue pour une femme manquant de sexe surtout que je suis cernée de tout côté, je sens même celle d’Alexandre s’appuyer sur mes fesses.
    
    La seule chose me rassurant, c’est qu’ils sont trois, je respecte mon chiffre porte-bonheur.
    
    • Installez-vous, Matias je connais la maison, je vais faire le service.
    
    Un fauteuil me tend les bras, celui de madame ou de ...
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