1. La maison du bonheur, un rêve dans la Creuse !


    Datte: 24/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Castajl, Source: Hds

    ... « C’est pas parce-que tu es à poil et le patron que tu dois tout te permettre, en particulier les mater de façon insistante… Aies un peu de tenue face à tes ouvriers !!! »Dehors, les jardiniers-citadins s’évertuaient à arracher les mauvaises herbes, couper les arbustes sauvages ou ratisser les feuilles, le tout dans un tableau idyllique de mecs quasi nus ou carrément à poil, « La Bellaudière » allait vivre des heures de pur bonheur charnel au masculin, c’était assuré !
    
    Le soir venu, nous avions fait un petit feu de camp, il faisait encore bon et chacun était resté en tenue légère, les culs-nuls avaient revêtu un sous vêtement et tous avions mis un tee-shirt, nous avons trinqué tous ensemble entre deux ou trois bises intimes à cette fermette creusoise en promettant de s’y retrouver le plus souvent possible entre mecs… évidemment !
    
    La plupart d’entre nous travaillions le lendemain nous fermons la maison et repartons retrouver la capitale pour la plupart.
    
    Trois copains dispo et moi s’étions donnés rendez-vous pour le week-end suivant ici.
    
    Le week-end s’annonçait bien, la météo était favorable aux travaux d’extérieurs, ce que nous décidâmes d’entreprendre d’un commun accord en arrivant. La règle fut respectée dès la première heure, tous les quatre Bastien Joris et moi étions en boxers et Cyril en maillot de bain taille basse pour la matinée et juste après le repas nous étions alignés tous les quatre pour mettre nos bites à l’air !
    
    Revêtus de nos seules baskets ...
    ... pour éviter les épines ou autres végétation agressive, nous nous sommes activés à couper, arracher et dégager ce qui avait été un jardin.
    
    Nos corps ruisselaient de sueur, Joris n’arrêtait pas depuis ½ heure de se palper le paquet, je lui dis : « Ecoute mon petit gars, si tu as envie de te branler, demande-le nous gentiment et on va t’aider, mais de grâce, arrête de te palper devant nous c’est indécent, provocateur et égoïste ! »Joris me rétorqua : « OK les mecs, alors venez me vider les couilles, j’en peux plus de voir vos culs à l’air ! »Aussitôt dit, nous lui tombâmes dessus, Cyril lui empoignant la queue, Bastien lui palpant le cul en lui mettant un doigt et moi engouffrant ma langue dans la sienne, j’imagine bien si un voisin était arrivé à l’improviste… Trois mecs de 28 à 32 ans queues tendues se farcissant un blondinet de 27 ans au milieu du jardin de la Germaine l’ancienne propriétaire… Ça aurait fait désordre et certainement la « Une » au bistrot du coin dés le lendemain !
    
    Nos ébats se sont soldés par quatre belles éjaculations dans la verdure et sur la raie de Joris, séance de léchouilles en suivant… et nous reprîmes notre boulot… On n’était pas là pour glandouiller !!!
    
    Le soir venu les abords de la bâtisse avaient bien changé, un gros tas d’herbes et de branchages se dressait dans l’ancien jardin.
    
    Après une bonne douche, que nous avions crée dans la petite pièce qui devait servir de cabinet de toilettes, nous fîmes notre barbecue, arrosé de bières et de ...
«1234...10»