Maria
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
religion,
poilu(e)s,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
nopéné,
uro,
confession,
Auteur: Senior, Source: Revebebe
... vraiment un cul bandant.
— Eh ben, dis donc, tu en avais gros à cracher. Fais voir, je vais te nettoyer, mon petit cochon.
Elle assurait aussi le service après-vente ! Et de m’essuyer le bout de la bite et de nettoyer mon ventre. Et sous mes yeux ébahis, je la vis recueillir sur ses doigts un peu de ma semence et les porter à sa bouche pour goûter… Ah la jolie salope, à me finir pour me finir, si j’avais su, je lui aurais demandé de me sucer ! Je me reculottai en vitesse et elle disparut un instant dans la salle de bain pour mettre un peignoir cachant son indécente nudité.
Et ensuite ? Nous avons bu notre café, comme deux copains, en discutant du programme de la journée du lendemain. Et quand elle se penchait pour poser sa tasse, le peignoir bâillait, découvrant son sein nu, le faisait-elle exprès ? Puis, prenant congé, je l’avais d’abord embrassée sur les deux joues, mais ne voulant pas en rester là, me prenant la tête entre ses mains, elle me roula à pleine langue une grosse galoche baveuse. Une onde de désir m’avait à nouveau parcouru. Oui, oui, d’accord, elle avait l’âge d’être ma fille, mais j’aurais voulu coucher avec elle, la baiser et passer la nuit contre son corps nu, sentir sa peau douce et tiède…
C’est une fois rentré dans ma chambre que ma femme avait appelé, comme elle le faisait chaque jour. Tout allait bien, nous n’avions que des banalités à nous raconter, mais je culpabilisais à fond de ce qui venait de se passer. Curieusement, ce fut elle ...
... qui mit la conversation sur le sujet :
— Et pour la chose, mon pauvre chéri, tu t’en sors ? Tu te débrouilles tout seul, comme d’hab ?
Oui, je confessai que j’avais dû ce soir me contenter d’une main, mais je ne précisais pas que ce n’était pas la mienne… Bon, je n’allais tout de même pas raconter à ma blonde, comme disent les Canadiens, que je m’étais délecté d’une jolie chatte de brune et de son petit anus jouisseur…
Le lendemain, à la fin de la journée, au moment où nous allions nous quitter, elle me demanda, avec un joli sourire :
— Tu viens prendre le café ?
Le message était codé, mais facile à transcrire. Que fallait-il faire ? Décréter que la séance d’hier était l’exception, et vivre en moine jusqu’à la fin du séjour, ignorant les propositions malhonnêtes de la nonne ? Ou bien, la vie étant courte, en profiter ? Après tout, il n’y avait pas eu adultère, au sens juridique américain du terme, puisqu’il n’y avait pas eu pénétration, c’est-à-dire coït. Notre pratique se référait à ce qu’on appelle aux US le « petting », qui consiste à se faire tout ce dont on a envie, avec les mains et la bouche, sauf le fameux coït. Je décidai de me retrancher derrière ce point de forme parfaitement hypocrite et acceptai de venir prendre le café… En chemin, elle me dit :
— Tu m’avais bien dit que tu étais fort en calcul mental, hein ? Je peux te poser une colle ?
— D’accord, vas-y.
— Six cent vingt-et-un divisé par neuf. Tu as cinq secondes !
— Mmmm… euh, voilà, ...