La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1678)
Datte: 22/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... mange, tu manges ! Obéit, ça vaudra mieux pour toi …
Saisi de peur, je plonge mon visage dans la gamelle et je commence à manger cette pâtée pour chien. Pendant ce temps, ils mangent de bonnes grillades avec un bon verre de vin rouge. Moi j’en ai plein le visage, je pue cette pâtée, j’ai envie de manger comme eux.
- Viens ici sale clébard !, dépêche-toi !
Je lève la tête et je vois un des ouvriers, il s’appelle Virgil je crois. Je m’approche de lui et je vois qu’il a enlevé chaussures et ses chaussettes.
- Lèche-moi les pieds et masse-moi, ils en ont besoin.
Que puis-je faire d’autre que d’obéir ? Ils ne sont pas très propres, transpirants mais à genoux, je baisse la tête et commence à lécher ses pieds. Je passe ma langue sur toute la surface de chaque pied.
- Suce mes doigts de pieds, salope !
Et me voilà suçant les orteils de cet homme. Je suis là, à le lécher depuis plus de 10 minutes quand Paolo m’exige :
- Viens ici, tafiole
Je lève la tête et je vois Paolo pantalon baissé et surtout une grosse queue circoncise, tendu, avec un gland énorme et violacé.
- Va y, suce moi salope, et applique-toi !
Je lèche ce volumineux sexe, je le prends en bouche et je commence à monter et descendre comme la putain que je deviens. Je l’entends gémir, soupirer. Il me prend la tête et la dirige vers ses couilles. Je comprends de suite et je me mets à lui lécher ses couilles tout en le branlant.
- Prend-les, dans ta bouche, salope !
Puis, tous se ...
... mettent à rire en me voyant gober les couilles de Paolo dans ma bouche et sa queue sur mon visage. Que suis-je devenu ? Je m’aperçois que malgré moi je bande dans ma cage, je comprends que mon moi disparaît, que je n’ai plus d’égo, et que ma nature servile a besoin maintenant d’être humiliée et rabaissée. Il me tire en arrière par les cheveux pour me relever la tête :
- Ouvre ta gueule et tire ta langue, tafiole !
Me voilà à genoux plein de bave qui coule sur mon menton, bouche ouverte et langue tirée. Il racle sa gorge et me crache un gros mollard dans ma bouche.
- Avale, salope !
Écœuré, j’avale et je me remets à sucer sous les insultes des quatre ouvriers.
Paolo me pousse à nouveau à genoux, il me tient par le cou et il se branle au-dessus de mon visage et au bout de quelques minutes c’est en hurlant son plaisir éjaculatoire qu’il gicle une quantité incroyable de foutre chaud sur ma gueule de chien ! Mes yeux, mon front, ma bouche sont souillés par six ou sept abondantes giclées sur ma gueule et ça coule sur tout mon corps.
- Nettoie, sale pute !
Je lèche, je suce, cette queue ne laissant plus aucune trace de sperme.
Ensuite, je dois sucer les trois autres, Virgil me gifle plusieurs fois, il se vide dans ma bouche et me force à tout avaler. Les deux autres se vident sur mon visage qui n’est plus qu’un réceptacle à foutre. Je suis poussé à terre par le dernier d’un pied énergique. Ils rient, plaisantent, parlent d’autres choses en buvant un bon café et ...