Périple en camping car 5 : Avec Sophie sur la côte atlantique
Datte: 21/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... respect de l’autre. Et dans le cul aussi bien sûr !! Ah Ah !
Ils sont bronzés intégralement et complètement épilés.
Le lendemain matin, la femme va faire l’épilation intégrale de Sophie et en profiter pour la baiser et la sodomiser au gode-ceinture.
Même si nos chemins se croisent, car ils descendent dans le Sud, nous décidons tous, de rester sur place une nuit supplémentaire pour profiter pleinement de cette rencontre.
Sophie a compris que j’aimais la voir nue. Ses gros seins et son gros cul sont des merveilles à regarder et à caresser. Dans le camion elle est nue, y compris quand elle est à la place du passager et que nous sommes sur de petites routes. Elle ne porte qu’un string minimaliste couleur chair qui donne l’impression qu’elle est nue. Quand nous mangeons à l’extérieur, si nous risquons d’être vus, c’est pareil. En revanche, si le camion est orienté de sorte que personne ne nous voit, elle reste là aussi, complètement nue.
La coquine sait bien qu’à un moment, je serai si excité, que je ne tarderai pas à la solliciter. Si ce n’est pas le cas, parfois je fais exprès de la faire languir en la voyant se trémousser, c’est elle-même qui prend l’initiative. Elle vient s’agenouiller devant moi pour me sucer. Elle ne cherche pas chaque fois à me faire jouir, mais comme elle adore faire des ...
... fellations, elle me pompe un peu, me caresse, puis s’arrête pour reprendre un peu plus tard. A ce régime, je suis souvent en érection, ce qui plaît beaucoup à la gamine.
Une fois, elle a osé me sucer alors que je conduisais sur une petite route déserte. Le premier chemin carrossable m’a permis de m’arrêter et c’est contre un arbre que je l’ai baisée, ou plutôt sodomisée, à sa demande expresse.
Elle aime maintenant que je lui « bouffe le cul » et je ne lui refuse jamais cette caresse qu’elle trouvait honteuse il y a peu.
Elle sait aussi que j’aime me faire enculer et elle me gode vaillamment, tout un me suçant « en souvenir de la première fois quand je t’ai sucé sur la plage et que les garçons te baisaient». Dans ces cas là, elle sait aussi que je suis « vidé » pour un moment, du coup, elle réserve cette pratique à la fin de nos ébats, quand elle-même a bien jouit.
Le récit de nos « frasques » serait une succession de baises, dans le camion, mais aussi à l’extérieur. Sophie s’est entièrement décomplexée et de retour au Ferret elle deviendra la maîtresse commune de ses employeurs, vivant même chez eux.
Le mois de septembre est passé. Les journées sont encore agréables. Je laisse Sophie à Nantes, pour qu’elle passe une semaine à Paris chez sa copine alibi, et je poursuis ma route, maintenant seul