COGNER
Datte: 20/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
J’ai ri en me redressant et en bombant le torse devant Bernard, le gamin que j’intimidais. Il a heurté violemment le sol quand je l'ai bousculé, et son regard était rempli de colère, de frustration et de peur. Je n'avais pas de raison particulière pour le tabasser, sauf qu’il avait un petit air "fier de lui" qui me déplaisait. Juste parce qu’il avait reçu les félicitations du prof. Un vieil imbécile qui bavait devant la mère de Bernard.
La mère de Bernard, c’est la prof d’anglais, une rousse exubérante, avec des vêtements trop ajustés sur ses formes généreuses. Quand elle descend de sa petite auto, tous les mecs se pressent pour mater la peau laiteuse au-dessus de ses bas. Quand elle se penche en avant, tous les mecs face à elle connaissent la couleur de son soutif, et ceux qui sont derrière elle ont le regard qui se voile en matant son cul rebondi.
Sa mère la prof, comme tous les mecs du lycée, j’aimerais bien me la faire. Mais comme je ne peux pas, je me venge sur le fils. Oh ! Rien de grave ! Je lui ai juste serré la main ! Un peu fort, un peu longtemps, mais le gamin a résisté. Sa pâleur naturelle s’est intensifiée, il s’est plié en deux, incapable de desserrer mon étreinte, en gémissant. Mais il n’a pas pleuré, n’a pas supplié, alors ça m’a énervé.
Nous sommes dans la même classe, en première, au lycée, mais il n’a que 16 ans. Et comme j’ai redoublé deux fois, j’en ai 18. Et une bonne tête de plus que lui. L’année scolaire se termine, et je ne verrai plus cette ...
... petite vermine, car je vais aller en "technique". Alors j’en profite pour le cogner un peu plus souvent, pour qu’il se souvienne de moi.
Donc, j’étais en train de lui écrabouiller la main mais, comme il résistait, d’un coup de genou, je l’ai envoyé rouler cul par dessus tête, ce qui a fait rire toute l’assistance. Je l’aidais gentiment à se relever, en le saisissant par sa tignasse, quand une voix haut perchée a retentit : "Marius !"
Je me suis retourné lentement pour voir Mme Marat, la prof d’anglais, à quelques mètres. Elle était plantée là, les poings sur ses hanches, et me regardait avec colère. Toute l’assistance en a profité pour décamper et je me suis retrouvé seul face à elle. N'importe quel enseignant serait en colère, mais elle, c'est la mère de Bernard.
Inutile de parler, je devine ce qui va se passer : "File dans ma classe. Illico presto." crache-t-elle en serrant les dents.
J’ai soupiré et je me suis mis à marcher lentement vers sa classe. J’ai fait un détour par les toilettes en prévision d’une engueulade qui pourrait durer longtemps. En pissant, j'ai entendu le claquement des talons qui passaient devant le chiotte. Ce devait être Mme Marat qui rejoignait sa classe.
Je me suis lavé les mains et je me suis dirigé vers sa classe. J'ai ouvert la porte sans toquer, pour bien lui montrer qu’elle ne m’impressionnait pas. D’un regard circulaire, j’ai vu que nous n’étions que tous les deux. Elle avait ôté son blazer et étrangement, elle avait dégrafé deux ...