COLLECTION NUIT DE NOËL. Rien (1/1)
Datte: 19/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... avoir un cocu, il faut un mari et celui de la grosse est parti pour ses affaires.
Où est ce con, Berlin, Amsterdam devant les vitrines ou le port d’Anvers et la ville de Gand dans ce même secteur des vitrines où je prostitue Audrey, la femme de Tony ?
Tony au secours dit moi ce que je dois faire de ta femme, toi qui adores quand elle se fait enculer ou gicler du sperme sur partout sur elle.
À oui, dans les histoires d’Audrey, il y a des gangs bangs.
Audrey aime les gangs bangs, vingt, voire trente mecs dont des grosses bites noires, elle adore, tu adores Tony.
Mais ce que tu aimes le plus c’est quand je te la ramène le matin et que tu lèches les kilos de sperme sur son corps que tous ces queutards ont éjaculé.
Tu la lèches avant de plonger ta bite dans sa chatte tellement défoncée, que tu pourrais y faire entrer un autobus avec tous ces passagers.
Voilà en temps normal ce que ma nuit m’apporte, des idées, mais là rien, rien de rien.
Souvent au matin, quand mon cerveau se réveille, j’arrive à me rendormir quelques minutes supplémentaires et je rêve.
J’ai peut-être une explication à ma page blanche, maître Domino le maître des maîtres dans le domaine de la domination.
Je me suis rendormi du moins, je somnolais, lorsqu’il est arrivé avec une grande paire de cisailles.
Il m’a coupé les deux index, c’est avec eux que j’écris, le sang giclait partout comme gicle le sperme dans mes histoires.
Je me suis réveillé me demandant à quel fantasme ...
... relier ce rêve à la réalité, mais rien.
À moins de créer une collection « GORE », mais les piloris, les croix et autres engins de tortures j’en ai écrit quels chapitres, mais sans plus, c’est lui le Maître avec un grand M.
Pour bien écrire, il faut, dans le réel, avoir passé un moment dans des clubs sadomasos.
Ma seule expérience, ce sont de petits films pornos sans grandes envergures où ce sont principalement des femmes qui se font martyriser.
Je parle d’une nouvelle collection, c’est pratique pour les lecteurs de se retrouver dans mes écrits.
Les belles-mères par exemple, prenez les belles-mères avec leur gendre, cherchons un développement !
Pour commencer un nom, Julia, 50 ans, toutes ses dents.
Une belle-mère, ça s’entretient, une grosse comme la femme du début, c’est difficile à lui faire mettre la jambe sur le plan de la cuisine donc elle doit être aussi sportive que sa fille.
Je dois bien en avoir une en réserve dans cette jolie villa qu’elles ont loué mère et fille pour leurs vacances.
C’est bien, j’ai un début, mais après, j’en ai mal à la tête , mais ça s’arrête là, plus rien, un début sans fin, c’est loin de faire ma prochaine histoire.
Je m’excuse, à votre réveil, aucune histoire signée Chris71 sur ce site.
J’aurais failli à ce que je m’étais promis d’essayer de vous faire, une fois par jour, profiter d’un moment de plaisir même si certains textes sont moins bons que d’autres.
Mais de là à voir cette page blanche, c’est vexant.
Je ...