La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1552)
Datte: 18/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1551) -
Chapitre 17 bis : L’entretien d’embauche –
Avant de démarrer, j’adressais un sms à Monsieur le Marquis pour l’informer de ce rendez-vous… Sur la route, j’essayais de me réveiller, de remettre mes idées dans l’ordre, de me concentrer sur cet entretien. Pas vraiment évident ! Des « flash-back » de ces journées de détention me revenaient sans cesse à l’esprit. Je n’étais pas ressorti indemne de ce premier long séjour au Château… Cependant ce matin, j’allais beaucoup mieux qu’hier au soir. Je réalisais que ces temps de résilience m’avaient apporté une autre vision de ce que devait être un esclave, pas seulement un esclave sexuel, mais un esclave tout court, un être inconsistant, malléable, modelable, façonnable, obéissant à toutes choses et docile dans l’absolu. Un être contraint avec l’esprit libéré de toutes charges du quotidien pour mieux concentrer son mental sur cette discipline rigoureuse exigée, pour mieux accepter cette Domination nécessaire à mon bien-être. Je ne mettais pas laisser abattre, j’avais été courageux, et puis… il y avait eu cette « enculade », mon vidage de couilles dans le cul d’esclav’antoine, il m’avait fait grand bien. Rien que d’y penser, ma nouille cherchait encore à s’épanouir, en vain, bien évidemment ! C’est dans cet état d’esprit, quelque peu excité, et après 1h30 de route que j’arrivais devant l’entreprise mâconnaise avec ...
... un peu d’avance. Je détestais arriver en retard à un rendez-vous. Je suivais une pancarte indiquant les bureaux.
Une jeune femme m’accueillait. Il me semblait la connaitre… d’où ? Je n’en savais trop rien… Je n’étais pas un grand physionomiste mais ce visage, ces cheveux noirs me rappelaient quelqu’un de déjà-vu. Elle était habillée strictement, un corsage blanc, col fermé, avec une jupe noire, droite, assez courte, pas de maquillage, les cheveux mi-longs lui tombant sur les épaules. A côté d’elle, un tableau à cristaux liquides indiquait : « La société Kinet Export souhaite la bienvenue à… » mon nom y figurait parmi d’autres. Je trouvais cette façon d’accueillir originale et sympathique, ainsi, on se sentait attendu et considéré.
- Vous êtes Monsieur Lapeyrière ?, m’interrogeait cette femme que je supposais être une secrétaire.
- Oui, c’est bien moi.
- Je vais prévenir Monsieur Montambert, en attendant souhaitez-vous un café ?
- Bien volontiers.
A peine venais-je de finir cet expresso que je vis un homme, grand, mince, à fier allure, une quarantaine d’années, type jeune cadre dynamique, manches de chemises retroussées, venir à ma rencontre. Il me tendait la main, une main ferme et énergique en me disant :
- Bonjour Alex, je suis Martial Montambert, suivez-moi !
A peine avais-je eu le temps de le saluer ! Nous montions à l’étage supérieur, par des escaliers métalliques en colimaçon, faisant grand bruit.
- Par ici, entrez et installez-vous, j’arrive ...