1. MAÎTRE NAGEUR


    Datte: 18/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: MG8895, Source: Hds

    ... vite. Je ne savais pas si je devais lui rendre la pareille ou m’abstenir, c’est Pietr qui me guida la main. Il avait un sexe fin et long, il coulait beaucoup. La perception de ce liquide m’excita davantage.
    
    Nous perlions, ce qui nous rendait la masturbation moins douloureuse. Il avait une main douce, ses mouvements étaient précis et pertinents, il mettait et relâchait la pression de ses doigts, de façon juste et nécessaire. Son pouce jouait de mon frein et de gland.
    
    Il avait tout prévu, il nous tira de notre piège tendu par ses soins, pour me pousser sur un tapis de mousse, laissé là, comme par hasard, dans ce local dit de contrôle. Aussitôt, coucher sur le dos, il vint parcourir d’abord mon cou, suivi de mon torse auréolés de mes seins tendus puis glissa sa langue sur mon ventre autour de mon nombril. Je bandais très fort et mon sexe faisait saillie dans mon short. Il le retira avec volupté pour s’emparer de mon membre décalotté et suintant de précum. Il me prit en bouche et me pratiqua une fellation lente et langoureuse. Sa langue enveloppait mon gland et ma tige. Le piercing qu’il avait sur son mollusque taquinait le frein de mon prépuce. Mon sang tapait contre mes tempes, mes oreilles bourdonnaient. Je me surpris à lui frotter la tête pour l’encourager. Des bruits de succions alternaient avec mes soupirs et mes plaintes, un maître de la pipe.
    
    Il me léchait les bourses, les prenait à pleine bouche pour les recracher comme de gros noyaux de pêche. Sa langue ...
    ... était fringante et joueuse. Elle papillonnait. Soudain, il releva mes jambes, appuya sur celles-ci, pour qu’elles reposent sur mon torse et soudain des fourmillements naquirent sur ma rosace, quel bonheur, il me striait les fronces. De la pointe de sa langue, il titillait le centre de mon trou alors qu’il écartait mes fesses à l’extrême en faisant ressortir mon rectum. Je pouvais ressentir son souffle chaud et irrégulier sur mon anatomie.
    
    Je penchai la tête et j’aperçu un flacon de gel et des préservatifs. J’étais excité comme jamais, je bandais très dur, je devenais dingue, j’en voulais encore plus. Il voulait me recevoir. Il s’était mis en levrette et il s’écartait lui-même les fesses, ce qui me permettait d’apercevoir son beau cul luisant, ses couilles pendaient. Je commençai à lui astiquer son long manche et je me suis diriger sur ses couilles. Je les gobais, les parcourais de ma langue pleine de salive. Son cul bien propre m’attira, je ne pu résister à y placer mes lèvres et mon mollusque. Animal j’étais ! Et Pietr râlait, gémissait, visiblement, il aimait mes caresses.
    
    Je voulais maintenant le pénétrer, j’étais trop excité, je passai rapidement un préservatif, j’ai enduit ma queue et son trou de gel. J’ai positionné mon gland sur son orifice bien ouvert et boursouflé par de nombreuses sodomies. Il m’appelait et m’invitait à entrer. Alors, j’ai poussé doucement, d’abord mon gland a disparu puis mon membre entier s’est engouffré. Je le possédais lentement mais ...