1. Dangereuses voisines


    Datte: 18/05/2025, Catégories: ff, fplusag, extracon, voisins, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral occasion, lesbos, Auteur: Lorette, Source: Revebebe

    Lorsque les deux femmes sont venues s’installer dans notre quartier, les commérages y sont allés bon train.Vous vous rendez compte, deux lesbiennes installées tout près de chez nous, cela fait désordre, elles ne sont pas comme tout le monde, elles ont des mœurs bizarres…
    
    En opposition à ces réactions un peu abruptes, j’ai tendance au contraire à être attirée par les personnes qui sortent un peu de l’ordinaire et prends généralement leur défense lorsque je m’aperçois qu’elles sont maltraitées ou rejetées. La plupart de mes amies sont créoles ou maghrébines, je suis volontiers attirée par les étrangers et je participe également à une association qui s’occupe de l’intégration des handicapés dans la vie publique. De sensibilité de gauche, je milite depuis toujours pour la différence. Alors quand j’entends une commerçante parler méchamment des « deux gouines » avec une cliente psychorigide, forcément je bondis, toutes griffes dehors… d’ailleurs, aux alentours, je n’ai pas que des amis.
    
    J’en discute le soir même avec mon mari. Il me dit de laisser tomber. Lui, il est plutôt comme ça, pas de bruit, pas de vague, rien qui perturbe le statu quo de sa douce tranquillité, parfois j’ai envie de lui tordre le cou. Depuis que les enfants sont grands, notre couple bat de l’aile, nous découvrons que nous avons finalement fort peu de points communs. Lui est plutôt sportif, toujours en ballade par monts et par vaux, il traîne derrière lui une cohorte de copains, il lui reste donc fort ...
    ... peu de temps à consacrer à sa famille, tandis que moi je suis pantouflarde, télé, bouquins, jardin, bronzette. Femme au foyer et sans-emploi, je participe quand même à la vie publique.
    
    _________________
    
    La première fois que les filles requièrent mon attention, je suis en train de me dorer sur mon bain de soleil ; j’entends des bruits de l’autre côté de la haie, des rires, des soupirs, des gémissements incongrus. Je savais qu’elles habitaient dans une rue un peu plus loin, mais j’ignorais pourtant que nous avions une frontière commune entre leur terrain et le nôtre. Intriguée et curieuse comme une pie, je vais chercher le petit escabeau et je découvre les deux femmes, au bord de leur piscine, toutes deux entièrement nues et enlacées l’une sur l’autre. La grosse brune est allongée, cuisses largement écartées, et sa comparse entre ses jambes, en train de lui brouter le minou. J’avoue ne pas penser une seule seconde au respect de leur intimité, au contraire j’en prends plein les mirettes, volontairement juchée sur mon perchoir jusqu’à la fin des opérations. Cela me rappelle que moi aussi, en mon temps, j’ai goûté aux longs délices lesbiens, lorsque j’étais jeune, avec mes copines de fac. Tout ça pour dire que ces plaisirs entre femmes ne me sont pas totalement étrangers, même s’ils datent d’une époque déjà plutôt lointaine.
    
    Le spectacle des deux amantes m’a vaguement perturbée. Lorsqu’elles se relèvent enfin, moi je baisse vite la tête et pars discrètement, à pas de loup, ...
«1234...»