Branche d'ébène à Mykonos
Datte: 17/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: My_little_piercing, Source: Hds
... l'encadrement de la porte-fenêtre ouverte. Prenant appui sur le chambranle, je lui présentais ma croupe sous les yeux admiratifs de nos colocataires qui pouvaient nous voir depuis le bord de la piscine. Après le commencement, ils allaient maintenant assister à l'hallali. Posant ses mains sur mon bassin, il s’inséra à nouveau en moi, m'utilisant pour me mener à son plaisir. J'aimais cette sensation. Mon orgasme m'avait complètement détendue, j'étais bien, reconnaissante, prête à lui donner ce qu'il attendait. Se faisait plus pressant, il m'attrapa par les cheveux tout en appuyant sur mes épaules afin d'être certain de bien aller au fond de moi. Je ne sais si ce fut un accident ou s'il le fit exprès, toujours est il que je sentis soudain son sexe quitter mon intimité pour se renfoncer immédiatement dans mon anus. Je poussais un hurlement de douleur. Je n'étais pas d'accord, depuis mon mariage, je n'avais toujours pas pratiqué de sodomie. Je criais mais lui, insensible, continuait d'aller et venir. Je relâchais mes sphincters et, progressivement, la douleur fit place au plaisir. Je retrouvais des sensations que j'avais oublié depuis plusieurs mois, je me délectais de cette luxure. Mon amant aussi semblait prendre plaisir entre mes fesses serrées. Poussant des râles rauques, c'est ici qu'il choisit de jouir, laissant sa semence envahir mes profondeurs. J'étais à bout, mais que c'était bon ! Alors que, vidée de toute énergie, je m'effondrais sur le balcon, il se dressa victorieux ...
... face à nos colocataires qui l'applaudirent chaleureusement. Puis, me portant délicatement et me déposant sut mon lit, il sortit doucement de ma chambre, me laissant seule.
Je ne sais combien de temps je restais ainsi, interdite sur mon lit. Mon plaisir retombait progressivement, mes muscles endoloris se rappelaient à moi. Après une longue douche apaisante, je finissais tranquillement mes bagages. Ce soir là, je ne préférais me faire porter à dîner. Je me sentais trop fatiguée pour affronter mes colocataires. La chevauchée de cet après-midi me laissais toute chose. Dernière soirée des vacances, le spleen m'envahissait. Je voulais être seule. Au bruit qui emplirent la villas jusque tard cette nuit, je devinais que le spectacle que nous avions offerts avaient aiguisé les appétits. Épuisée, je ne me joignais pas à la fête et m’endormis. Le lendemain matin, je quittais la villa encore endormie sur la pointe des pieds, fuyant vers l'aéroport et la France.
Épilogue : Que je fus heureuse de retrouver mon mari. Les vacances seule, c'est bien ; mais quand on choisi de passer sa vie avec un homme, il illumine votre quotidien dès que vous êtes avec lui. Nos retrouvailles furent tendres. Alors que nous nous caressions mutuellement, allongés nus dans le lit conjugale, il choisit ce moment pour me remettre mon piercing au nombril en me disant en m'embrassant : « bon retour chez nous ». Nos ébats furent doux, longs, intenses. Je venais de jouir pour la seconde fois quand il décida de ...