Branche d'ébène à Mykonos
Datte: 17/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: My_little_piercing, Source: Hds
... moment que je pris juste pour moi, loin du tumulte de la vie quotidienne. La nuit, je pouvais m'étendre dans le king bed sans rencontrer le matin et chaque matin, je pouvais flâner dans mon lit sans culpabiliser, sans personne pour me réveiller, me bousculer. Je pouvais faire la sieste autant que je voulais sans crainte d'être dérangée. Je profitais d'une vie solitaire et de ses plaisirs. Je redécouvrais mon corps, allongée nue sur mon lit, bercé par le bruit des vagues. Je regardai le petit trou qui surmontait mon nombril, discrète cicatrice laissé par le bijoux que je récupérerai après une nuit torride de retour à Paris. Y pensant, je me caressais tendrement des heures durant et j'y prenais énormément de plaisir. Oui, loin de mon mari, je m'aimais sans aucune honte.
La veille du retour, alors que je commençais à préparer mes bagages, je retrouvais dans ma valise le micro bikini rouge que j'avais acheté spécialement pour ce voyage. Il aurait du être mon meilleur allié pour éveiller dans l'esprit de mon homme des pulsions inavouables. Sans lui, je n'avais finalement pas osé le porter et allais retourner à Paris l'enfouir au fond de mon placard pour tout l'hiver. Je me disais que c'était vraiment trop bête et décidais donc d'essayer le vêtement, seule dans ma chambre. Il ne couvrait effectivement que le stricte minimum, était terriblement osé et me tenait à l'étroit. Mais j'adorais, dedans, je me trouvais belle, affriolante, désirable. Ainsi vêtue, je sortis sur le ...
... balcon de ma chambre, comme pour présenter mon corps à Hélios et Poséidon. Je me sentais soudain pleine d'assurance et décidais d'aller ainsi tanner ma peau sous le soleil. Sortant de la maison, je vis que seule le couple était tranquillement entrain de bronzer. Descendant avec assurance les marches qui menaient au bord de la piscine, je remontai ensuite le bassin fièrement cambrée, mettant en avant ma poitrine généreuse. Portée par les délicates caresses d’Éole, j'avançais dignement, avec assurance, faisant rouler mes hanches. Cachée derrière mes lunettes de soleil, je devinais les regards appuyés de l'homme et de la femme. Les ignorants, je m'installais tranquillement sur une chaise longue, heureuse d'avoir fait mon petit effet. Laissant le soleil m'envelopper de sa douce chaleur, je me laissais aller. J'étais bien, relaxée. Je ne pensai plus à rien.
Un bruit d'eau me tira soudain de ma torpeur. De l'autre bout du bassin, un homme venait de plonger dans la piscine. Seule une tête noire rasée sortait de l'eau, précédant un corps qui, se déplaçant en mouvements parfaitement synchronisés, semblait magnifique. Arrivé de mon côté du bassin, l'homme se redressa et je pu voir son torse émerger. Il était musclé, parfaitement proportionné, il n'y avait à la fois rien en trop et il ne manquait rien. Bref, il était parfait. Des veines saillantes couvraient ses bras forts et un collier de fines perles noires, rouges, jaunes et vertes, couleurs symboliques de l'Afrique, soulignaient son ...