1. Dans un lointain passé où la vie et la mort n’avaient que peu d’importance…


    Datte: 17/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Dans un lointain passé où la vie et la mort n’avaient que peu d’importance…
    
    Nous sommes au Pérou quelques siècles en arrière. Les Aztèques et les Olmèques s’opposent dans des combats insensés et perpétuels. Les prisonniers sont sacrifiés aux Dieux. Les hommes qui en réchappent servent d’esclaves pour toutes tâches pendant que les femmes servent d’objet sexuel. Mais les jeunes vierges sont réservées aux Dieux, ou à leurs représentants sur terre ; les prêtres, la caste des nobles richissimes et surtout les dirigeants cruels de ces dizaines de petits royaumes avec ces pyramides innombrables pour les sacrifices rituels.
    
    Dans ce monde où la vie est courte, les interdits sont nombreux et les jeunes amants ne peuvent, sans passer devant un prêtre, assouvir leurs désirs sous peine d’être immédiatement sacrifiés sur l’hôtel d’un de ces Dieux assoiffés de sang.
    
    Entac, fils Aztèque du chef de la vallée ne peut se soustraire à la loi et doit réfréner ses ardeurs avec Xalla. Bien sûr, comme tout fils de roi, il a vécu avec l’aide d’une prêtresse, sa première montée de sève offerte aux Dieux de l’amour.
    
    Les jeunes tourtereaux devaient passer devant le prêtre dans les prochains jours mais la vie leur a joué un tour pendable.
    
    Les deux jeunes amoureux sont dans la grotte sacrée où s’entassent les trésors du village pour être hors de portée des rapines des brigands et des ennemis Olmèques toujours à la recherche de nouveaux esclaves et d’offrandes rituelles pour leurs ...
    ... Dieux.
    
    Ils sont accroupis devant un feu après une partie de chasse. Xalla a retiré son corsage trempée de sueur mais c’est si naturel en ces temps reculés qu’Entac ne semble voir ni les très jeunes seins ni même la fente délicate du sexe entre les cuisses découvertes par l’exiguïté du pagne qui ne cache pas grand chose. Il réalise enfin qu’il planterait avec plaisir son sexe de chair dans le puits moelleux de la jeune Xalla.
    
    Elle voit son émoi et sans même penser au sens hérétiques de ses paroles, elle lui avoue :-Je m’ouvrirai bientôt à toi comme la papaye mûre s’ouvre au couteau de ton corps.
    
    - Tu es belle Xalla, désirable, tes seins ressemblent à de petits fruits à peine mûrs. Ton ventre est source de toutes les joies, de tous les bonheurs et son miel se mêlera au mien dans quelques jours.
    
    Entre ses jambes jointes, sous son pagne, le secret de son corps la brûle. Son regard s’attarde sur les doigts agiles d’Entac qui suivent la courbe de ses épaules puis la naissance de ses seins, effleurant les aréoles brunes d’une poitrine à peine formée mais dure comme le bois de fer, elle aperçoit l’ombre émouvante sous le pagne trop court aussi du garçon et qui transmet ces informations au cerveau. Une bosse prometteuse déforme le bout de tissu qui retient avec peine le désir du jeune mâle.
    
    Mais la terre se met à trembler comme souvent dans la vallée sous la colère des Dieux. La roche liquide va encore jaillir de la terre, mère nourricière mais toujours affamée de proies. Les ...
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