1. Le pari - Suite


    Datte: 17/05/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: LING17, Source: Hds

    ... comme jean , il ait le droit de me sodomiser, en un mot, qu’il ait la pleine jouissance de mon corpsMe retirant du chibre que je gobais, ,regardant Jean bien dans ses yeux, pour bien lui faire comprendre le sens de mes paroles je me suis écriée« Viens en moi, encules moi comme le fait Jean ; toi seul y aura droit donc fait moi jouir en me sodomisant profondément »Se retirant de ma matrice , la queue s’est frottée contre mon sillon bien englué ;son gland s‘est appuyé sur l’anneau , écartelant , agrandissant doucement le passage ; puis d’une puissante poussée, il m’a perforé , faisant exploser l’ouverture de mon anneau ; la douleur était là, mais je serrais les dents pour ne pas crier : je voulais lui appartenir ainsi ; reculant un peu mon bassin, j’allais à la rencontre de ce chibre prenant possession de mon conduit ; doucement la douleur a disparu, avant que sous les pénétrations totales de pierre mon plaisir arrive ; je jouissais , criant mon plaisir, lui prouvant ainsi que tout comme jean, il pouvait disposer de moi comme il l’entendait comme une maitresse à part entière.
    
    « vas-y jute en moi, emplit moi de ta semence, toi seul désormais en aura le droit, en dehors de jean « Lorsque sa semence s’est écoulée en de nombreux jets dans mes entrailles, j’ai eu l’impression d’un immense plaisir, encore jamais vécu, celui d’appartenir totalement à deux hommes, certes cela m’était déjà arrivé, mais jamais aussi totalement ; j’étais leur femme, pour mon plaisir certes, mais aussi ...
    ... pour une fois, avec la sensation d’un amour complet pour eux.
    
    Si parfois Max le fils avait la possibilité de me prendre, c’était seulement pour le plaisir physique ; jeune et fougueux, il savait me faire jouir, d’autant plus qu’il avait la capacité de pouvoir bander presque à la demande ;lorsque je le rencontrais, j’en ressortais la moule dévastée, les petites lèvres gonflées par le frottement, la chatte pleine de semence, mais jamais il n’y avait le moindre sentiment.
    
    A mon retour à la maison, mon plaisir était de faire découvrir à Jean ou à pPerre s ‘il était là ,combien max m’avait fait jouir et combien il m’avait fécondée ; pour lui, comme pour pierre , c’était alors la possibilité de me faire ‘le baiser de la reine,’ offrant ma chatte à des lèvres agiles et fouineuses ; souvent accroupie au-dessus de sa bouche, la langue pouvait ainsi laper le résultats de mes copulations, le semence s’écoulant totalement sur son visage ; ce rituel ne se faisant que quand j’avais un autre postulant à mes évasions sexuelles, car Pierre avait pris le même chemin que Jean ; non seulement il acceptait mes écarts, mais en plus il les encourageait ; tous les deux, lors de mon retour ou au départ de l’amant d’un instant lorsqu’ils étaient présents, redevenaient mes amours, me possédant toujours avec la même détermination : celle de me faire jouir .
    
    Cela fait maintenant trois ans que nous vivons à trois ; Pierre a laissé son appartement à son fils et nous avons aménager notre chambre, à ...