Épisode 2: Le mitan du début
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
Oral
pénétratio,
fsodo,
sf,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... leur dialogue, l’avait gravement mise en condition : sa chatte était trempée, de chez trempée.
Le temps de l’action était venu.
Il fit sauter les derniers boutons du chemisier, arracha, plus qu’il ne défit, l’attache centrale du soutif.
Pas de tendresse superflue.
Il voulait malaxer ces seins orgueilleux sur lesquels il avait tant fantasmé.
Il les pétrit rudement.
Tour à tour, les écrasant l’un contre l’autre, les séparant, les repoussant vers l’extérieur des épaules, les remontant sur sa gorge laiteuse.
Ses doigts en pince compressaient fortement les tétons comme s’il voulait en faire sortir du lait.
Pareille ardeur entre les cuisses de C.S.-F. : sa langue plongeait au plus profond de la vulve en éruption d’où coulait un flot de lave brûlante. Il en avait la bouche pleine, le surplus débordant sur le menton.
Ironie du sort, Sander-Farrell au corps d’athlète, était dotée d’un minuscule clitoris qu’il eut du mal à dégager. Petit, mais réactif ! Un simple frôlement du bout de la langue provoqua des soupirs très prometteurs. Lorsqu’il le suçota, aux soupirs s’ajouta une ondulation suggestive du bassin.
C.S.-F. s’installa plus confortable : posant ses avant-bras sur la table, elle se laissa aller en arrière. Il semblait clair qu’il devait lui donner du plaisir, mais la réciprocité ne semblait pas d’actualité. Il s’en foutait un peu. Le simple fait de la réjouir le faisait triquer comme un âne. Il ne supportait plus sa combine. Il abandonna sa ...
... dégustation vulvaire. Elle tenta de le retenir.
— Une seconde, je me mets à l’aise.
Il lui fallut plus d’une seconde. Ces p…. de godasses Sécurit avaient beau avoir des scratches électrostatiques… Quand on n’a pas la tête à ce qu’on fait… Enfin nu. Durant son déshabillage, C.S.-F. s’était rassise. Elle regardait goguenarde un point précis de son anatomie.
— Bel équipement ! Il faudra me planter cette fiche avant la fin de ta prestation ! Allez au boulot ! Ça va refroidir !
Pour le romantisme, il s’était trompé d’étage !
Elle s’était déjà repositionnée. Il replongea. Langue butinant le clito, mains tourmentant les seins. À l’évidence, elle appréciait cette dualité douceur/violence : elle reprit avec promptitude son envol. La bouche, délaissant le mignon clitounet, escalada un mont de vénus à la pilosité luxuriante emmenant au passage quelques poils follets entre les dents.
Alors qu’il entreprenait un léchage humide de l’aine, juste à la jointure de la cuisse et du bassin, elle lui fit comprendre qui était la patronne. D’une main impérieuse, elle repoussa la tête « léchante » entre ses cuisses.
Très bas entre ses cuisses. Sa position semi-allongée dégageait entièrement sa raie culière offrant en libre accès un œillet à l’«aréole» brune et fripée.
— Toi qui a déjà enculé des hommes, ça ne va pas te gêner de t’occuper de mon p’tit trou !
Elle était vraiment incroyable ! D’une vulgarité, si ce n’eut été sa situation, qui l’aurait conduit directement en camp, ...