Récits musclés (3) - Histoires de Sexe

Récits musclés (3)

... l'université et occasionnellement dans cet endroit. Il fit amicalement connaissance avec Thomas et Étienne. Il leur présenta le fonctionnement du temple ainsi que celui du club « Les Héraclides » dont il était l’un des dirigeants. Gérard emmena les deux jeunes dans la partie du bâtiment comportant des appareils de musculation affectés aux ébats sexuels. Là, ils croisèrent un certain Laurent de vingt-deux ans. C'était un bœuf avec des pectoraux surdimensionnés. Il faisait des squats en s'abaissant sur un plug anal évasé hyper large. Le dos tourné vers les vitres sans tain, les spectateurs, qui s'y dissimulaient, admiraient le godemiché s'enfonçait dans le fessier proéminent. Ils étaient impatients de le remplacer par leurs mains, certains avaient des avant-bras semblables à ceux de Popeye le marin.

Revenons au sujet principal. Thomas, volontaire et motivé, allait suivre un entrainement intensif de succion à partir d'une fuck machine. Celle-ci disposait à son extrémité d'un phallus déformable mécaniquement. Il était ainsi possible de changer la longueur, la grosseur et l'inclinaison de celui-ci, afin de reproduire les différents aspects des sexes masculins. Pour plus de réalisme, le gland suintait un liquide aux saveurs de caoutchouc, poisson, salé, urée ou bien épicé. Le mécanisme simulait également des éjaculations dont la texture et la quantité étaient réglables. C'était Étienne qui utilisa cette machine sur le blondinet aux yeux bleus.

Thomas s'assit sur une chaise ...

... qui avait des sangles en cuir. Étienne attacha ses mains et sa tête, puis il colla le faux sexe contre ses lèvres. Il mit en branle la machine. Le phallus sophistiqué mouvait dans chaque recoin de la bouche de Thomas, telle une brosse à dent. Étienne changeait constamment les paramètres à l'aide d'une télécommande, il s'amusait comme un gamin avec son jouet préféré. Comme vous devez le deviner, chers lecteurs, Étienne prenait un malin plaisir à paramétrer un phallus, gros et long, se déplaçant à un rythme effréné, au risque de déboiter la mâchoire du pauvre Thomas. La première partie de la formation dépendait de son aptitude à ne pas griffer l'objet phallique avec ses dents. Une fois réussie, il devait, lors de la deuxième, être capable de sucer en se mettant à genou, sur le ventre ou le dos. Lors du passage en gorge profonde, Étienne était curieux de savoir jusqu'où il était possible d'enfoncer le phallus dans l'œsophage ; Thomas devait gérer entre sa respiration et les éjaculations incessantes.

La deuxième partie fut achevée avec succès quelques jours plus tard. La troisième s'enchaina où Thomas devait prouver que les hommes sont capables de faire deux choses à la fois. Étienne donna de sa personne. Lorsque la machine pilonnait la bouche de Thomas, Étienne tâtait les puissants biceps, pétrifiait les pectoraux volumineux et caressait les grosses cuisses. Pendant qu'on lui procurait du plaisir, Thomas ne devait pas faillir et continuer à sucer le membre artificiel sans le ...