Leçon de piano 2
Datte: 15/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Gonzague58, Source: Hds
Quand Agathe a ouvert la porte, elle portait la même robe que le cours précédent. Petite robe fleurie qui lui arrivait au dessus des genoux. Nous nous sommes salués, visiblement très gênés de notre dernier rendez-vous.
C’est vrai qu’elle faisait jeune, mais j’ai vérifié sur sa fiche ce que je savais déjà, elle allait avoir 18 ans dans 3 mois.
Je l’invite à s’installer sur le banc de piano et d’entamer ses exercices de mise en forme, quelques gammes…Je viens m’assoir tout contre elle et lui dit de m’interpréter son programme pour le concours qui arrive dans quelques mois. Important ce concours qui pourrait lui apporter une place dans un excellent orchestre ou même un début de notoriété comme concertiste.
Agathe est excellente et je suis persuadé que cette étape est tout à fait à sa portée. Elle a beaucoup de talent et est très studieuse.
Avant qu’elle ne commence vraiment je lui dis « vous direz à vous parents qu’à partir du prochain cours, je vous garderai un demie heure à une heure de plus pour que vous soyez au mieux pour le concours, bien sur gratuitement, car je crois beaucoup en vous » . Bien Monsieur ! Agathe ne parle pas beaucoup, vraiment pas mais elle est à l’écoute de mes remarques ou mes suggestions d’interprétations.
Une fois de plus, collé contre sa cuisse dont je vois la peau avec la robe qui est remontée, me donne une montée de sève.
Je me lève et la laisse enchainer les morceaux au programme du concours. Elle est prête, c’est certain, mais ...
... je sais pour y être passé, il faut inlassablement répéter, répéter, répéter. Corriger quelque nuance, quelque legato etc…Deux mètres derrière elle, son petit cul qui oscille un peu au rythme de son jeu me fait vraiment fantasmé. Je m’approche et dès la fin de son morceau, comme la fois précédente, je viens me coller contre son dos, ma virilité en appui sur ses épaules. Puis ma main descend à la rencontre des boutons de sa robe. Elle a posé ses deux mains sur les bords du tabouret et ne bouge pas…Le premier bouton puis le deuxième et enfin le troisième me donne accès a ses seins libres de toute entrave. Elle n’a pas de soutien gorge ! Incroyable ! Je caresse, je palpe, je pince légèrement les tétons et je continue l’ouverture de sa jolie robe. Quand j’écarte les pans, quelle surprise, elle n’a pas de sous vêtement !. Je suis déstabilisé. Ainsi n’est elle pas si prude qu’elle en a l’air. « Vous n’avez pas mis de sous vêtement ? » Un long silence avant qu’elle ne réponde, « je viens de les enlever aux toilettes ». Puis elle redevient muette.
Je m’empare de ses petits seins magnifiques,, je l’embrasse dans le cou, un main descend vers son triangle humide que j’empoigne d’une main ferme, lui arrachant un gémissement non feint.
Ma main devient douce et glisse sur ses lèvres, caresse son bouton, longuement. J’ouvre mon pantalon qui glisse à mes pieds et je descends mon caleçon, ma bite toute raide dans son cou, que je frotte dans ses cheveux, contre sa joue, il faut que je me ...