1. Féérie royale au Cap d’Agde (1ère partie)


    Datte: 15/05/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    Pour notre deuxième année de libertinage nous avions le privilège d’être invités à l’une des fêtes les plus emblématiques de la saison libertine. Seul souci : il fallait s’habiller comme au XVIIIème siècle pour une soirée qui s’annonçait « grand siècle ». C’est comme cela que nous sommes allés louer habit et robe d’époque. Petit souci : à la mi-août au Cap on crève un peu de chaud dans des habits faits pour la cour de Louis XIV. Et on a l’air passablement ridicule en se baladant le soir au milieu des nudistes. Mais Wilena et Julius, nos amis qui nous ont invité à la fête, ont été formels : respecter le dress code était indispensable pour être reçus. Et comme Chrystèle voulait respecter à la lettre les us et coutumes du XVIIIème siècle, elle ne porte pas plus de culotte que ne le faisait la marquise de Pompadour.
    
    Mais se fait-elle prendre comme elle ? Mystère. En tout cas à cet instant elle est debout contre un mur et un petit black la pénètre avec application tout en lui pétrissant les seins. Sa longue robe est seulement remontée sur ses fesses. Léopold quant à lui est aux premières loges. En fait il est devant sa belle qui l’embrasse à pleines bouches pendant que leur invité la bourre à grands coups de bite. Pas très grand il a pris la précaution de lui demander d’enlever ses chaussures – pas d’époque celles-là - qui lui faisaient atteindre un bon mètre 80. Mais il sait s’y faire. Et elle aime qu’on lui pétrisse son 95C. Quant à Léopold il commence à trouver la rambarde ...
    ... du balcon sur lequel sa belle se fait prendre un peu rugueux mais apprécie le côté décalé de la situation.
    
    Décalée la soirée l’était. Notre hôte était un gros homme la soixantaine qui avait revêtu habit, canne et perruque de roi. Sa maison, au milieu du village naturiste du Cap, comprenait une large piscine avec un petit pont séparant une sorte d’île du reste de la piscine. Le tout à l’abri des regards car abrité par un haut mur. Et sur cette petit île notre hôte avait installé son trône et y tenait en laisse une belle blonde totalement nue si on exceptait son collier. Tout autour les invités, tous habillés comme à la cour du roi, discutaient comme si tout cela était fort banal. Nos amis Julius et Wilena n’étant pas encore arrivés nous discutions avec des gens que nous ne connaissions ni d’Eve ni d’Adam. Beaucoup d’Italiens – les Italiens adorent le Cap d’Agde n’ayant pas l’équivalent dans leur pays – étaient là. Des femmes superbes mais des hommes un peu décatis. D’ailleurs en général les couples étaient plutôt âgés et les femmes sentaient le silicone à dix mètres avec leurs seins fermes comme du béton comme avait pu le constater Léopold.
    
    Car Léopold avait été le premier à s’amuser. Chrystèle était en grande conversation avec notre hôte, qui l’avait gentiment conviée à se joindre à ses amis, une belle femme l’avait lui convié à visiter la villa. Très grande, avec les talons plutôt un mètre 90, très blonde, très mince, elle avait bien 50 ans mais Léopold, en invité bien ...
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