Tout Ce Qu'il Voulait
Datte: 15/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... infiniment.
Louis avait un équipement de folie, aussi je n'avais que l'embarras du choix. Un bâillon boule énorme dans sa bouche, que je serrai vraiment fort, puis une cagoule en Spandex par-dessus pour ne plus le voir. J'avoue que son regard misérable commençait à vraiment me donner envie de le frapper! Les mains attachées au plafond, mais sans qu'il ne soit trop tiré, ni suspendu, je ne voulais pas couper sa circulation et je ne savais pas trop où était la limite. Il reposait ainsi confortablement sur ses pieds. Je serrais ses couilles émergeant de sa cage fermée depuis des mois, et les enfermais dans un parachute que je lestais de poids. 6 kg pour commencer. Là je m'étais renseignée. Je le senti fléchir. Puis avec un simple anneau, j'attachais un premier kilo à chaque téton. Je fus récompensée par le cri et le gémissement lorsque je lâchais doucement les poids. Les seins furent attirés par le sol et bien déformés. Conformément à ce que j'avais prévu, j'ajoutais enfin 3 kilos aux ouilles de mon nouvel esclave, arrachant encore de nouveau cris et supplications. Inutiles.
J'allais le laisser ainsi quand j'eu une nouvelle idée. Certaine que Louis serait fier de sa Maîtresse. Cela m'a pris du temps, mais de toute façon Louis n'allait pas s'échapper. Je pris une paire d'escarpin que j'avais trouvée dans ses affaires, à sa taille. Ou presque, elle me semblait un peu serrée. Je l'essayais sur un de ses pieds, et elle rentrait plutôt bien. Les talons ne me semblaient pas si ...
... grands mais c'était parce que la taille était grande, ils faisaient quand même 12 centimètres. Mon idée était de tapisser les escarpins de punaises à trois pointes que j'avais vues dans un de ses tiroir. Un peu de colle super glue, quelques minutes de travail, et j'avais là une torture qui me faisait frissonner, tant j'imaginais la souffrance que c'était. Lorsque je revins lui enfiler les chaussures, la réaction fut toute autre. Il en oublia ses poids, et sembla résister mais en vain. Les escarpins possédaient une lanière pour les enrouler autour de la cheville, pour qu'il ne puisse les enlever.
La vision était pathétique et d'effroi. J'entendais un hurlement permanent étouffé par le bâillon, tandis qu'il se dandinait d'un pied sur l'autre sans trouver de position de repos. J'étirais les cordes pour qu'il ne puisse presque pas bouger, et qu'il accepte ainsi sa souffrance. Je devais avouer que je n'en menais pas large. Je me répétais sans cesse que c'était ce qu'il voulait, et que je lui montrais ainsi toute sa folie. Après il reviendrai à la raison ou pas, mais dans tous les cas, moi je m'en sortirai.
Je revins deux heures plus tard, il ne bougeait presque plus. Je retirais le masque puis le bâillon, ses yeux étaient clos, il était épuisé, il me sourit, essaya de faire bonne figure mais ses yeux pleuraient. Il me remercia, me supplia, me remercia encore, c'était incompréhensible. Il me vouait une fidélité à jamais, me disait qu'il ferait toujours tout ce que je voulais, ...