Tout Ce Qu'il Voulait
Datte: 15/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... sexuelle de la journée avait été intense.
Mais loin de me soulager, il m'en fallait bien plus. La main se retira, je pris le relais. Sentant une bosse prometteuse sous le pantalon que j'ouvrir puis fit baisser. Je vérifiais, nous étions tranquilles. Le sexe jaillit comme un diable, si droit, si beau, il était vraiment parfait. Ni le plus gros, ni le plus long, mais le plus parfait. Je le massais doucement, me demandant s'il pouvait devenir plus dur. Je basculais alors mon bassin, faisant voler mes jambes par-dessus les accoudoirs, écartant mes cuisses pour accueillir l'intrus au plus profond de mon intimité. J'avais besoin d'une sodomie sauvage et mon voisin ne se fit pas prier. Il sut faire durer le plaisir, attendre la lubrification de mon cul et mes gargouillis d'orgasme pour se laisser aller en moi et éjaculer profondément. Comme c'est bon un vrai homme. Nous reprîmes le cours du film, je l'embrassais, nous recommençâmes deux fois, le film durait effectivement plus de 3 heures.
Je pris sa main dans la mienne et nous rentrâmes à la maison en nous embrassant. Je n'avais pas oublié mon mari, loin de là, mais je n'avais aucune envie de m'en occuper. Il le fallait, je n'allais pas le laisser pendu plusieurs encore. Alain monta avec moi, et malgré mes avertissements fut sidéré de voir la déchéance de son ami d'enfance. Il y avait des mois que les liens entre Louis et lui étaient rompus, tandis que j'avais pris largement le relais, ayant étable une relation très régulière ...
... avec lui. J'avais découvert qu'il n'avait jamais vraiment trouvé une femme, cherchant mon double, et heureux de l'aubaine de la perversion de Louis.
Celui-ci pendait inanimé par ses liens. Je le descendis doucement, il ne réagit pas, mais respirait régulièrement, ses mains bougeaient, tout allait bien je n'avais pas besoin d'appeler un avocat! J'enlevais tout ce qu'il portait, hormis la cage de chasteté bien entendu, et le laissant là à même le sol, nous allâmes nous coucher. Demain serait un autre jour!
C'est un reflet de soleil dans les yeux qui me sortit de ma torpeur matinale. Surprise je regardais mon mari à genoux, tête baissée, portant un plateau de petit déjeuner et attendant mon réveil, comme si rien ne s'était passé la veille et comme su j'étais seule dans le lit. Il ne dit ni ne manifesta rien. Il s'installa entre mes jambes pour me boire, et je l'envoyais faire de même avec Alain, mesurant ainsi sa capacité de dévouement. Il n'hésita même pas, au contraire d'Alain, gêné, surtout de bander dans la bouche d'un homme, qui plus est son ex meilleur ami. Mais je l'avais informé et il arriva à tout se vider. Deux vessies pleines de la nuit cela devait occuper un peu d'espace. Pendant que nous prenions le petit déjeuner qu'il avait préparé pour deux, j'envoyais mon esclave se doucher et se nettoyer. Il marchait à 4 pattes, ses pieds étaient affreux à voir, tout comme ses couilles toutes noires. Je n'étais pas certaines qu'elles seraient à nouveau fonctionnelles un ...